A une époque lointaine le lion était le maitre absolu sur tous les autres animaux. Chaque année il demandait à chaque animal de lui chasser de la viande pour une fête. Et pour montrer sa domination totale sur les autres, il décida de frapper trois fois sur la tête de chaque animal avec son sexe s’il ne ramena pas de viande.
Tous les animaux lui déposèrent à tour de rôle leur butin devant ses pieds. Mais un lapin arriva et lui offrit un panier rempli de carottes, étant donné qu’il ne savait pas chasser.
Le lion le frappa une première fois sur la tête avec son gros sexe. Le lapin sourit. Irrité par sa tête souriante, il frappa encore plus fort la deuxième fois avec son gourdin. Le lapin se tint la main devant la bouche et pouffa de rire.
Furieux, le lion fi tourner sa bite en l’air avant de l’abattre une troisième fois avec toutes ses forces sur la tête du lapin. Le lapin fut carrément plaqué à terre avec le choc. Ce dernier explosa de rire et se tortilla dans tous les sens.
« Mais qu’est-ce qui te fait rire à ce point-là lapin ?! » rugit le lion. Le lapin lui répondit. « Non rien je repense juste au hérisson qui va vous ramener un panier de pommes ! »




Le pape meurt et se retrouve devant Saint-Pierre à l’entrée du paradis. Saint-Pierre lui demande qui il est.
Le Pape : « Je suis le pape »
Saint-Pierre : « Qui ça ? Je n’ai pas ce nom dans mon livre »
Le Pape : « Je suis le représentant de Dieu sur Terre »
Saint-Pierre : « Dieu à son représentant sur Terre ? Il me l’a pas dit ça ! … »
Le Pape : « Mais enfin je suis le dirigeant de l’église catholique ! »
Saint-Pierre : « L’église catholique … jamais entendu parler de ça … Attendez, je vais vérifier avec le chef. »
Saint-Pierre s’en va pour aller voir Dieu.
Saint-Pierre : « Hé chef, il y a un type devant la porte qui affirme qu’il est votre représentant sur Terre. Ça vous dit quelque chose ?
Dieu : « Je n’ai pas de représentant sur Terre, pas à ma connaissance en tout cas … attends, Je vais demander à Jésus au cas où. »
Il cria « JESUS !! » Jésus arrive et lui dit « Oui papa qu’est-ce qui se passe ? »
Saint-Pierre et Dieu lui résument la situation.
Jésus : « Attendez ici, je vais aller le voir et discuter un peu avec ce mec. »
Dix minutes plus tard Jésus revient en riant les larmes aux yeux et en se tenant le ventre. Après quelques minutes de fous rire il essuie ses larmes et Saint-Pierre lui demande ce qu’il y avait d’aussi drôle.
Jésus lui répond : « Tu te rappelles ce club de pêche que j’ai fondé il y a 2000 ans environ ? Il existe encore ! »




Hilary Clinton et Donald Trump vont dans une boulangerie.
Discrètement Hilary prend trois croissants et les mets dans sa poche. Elle se retourne vers Trump et lui dit : « Tu vois à quel point je suis douée ? Le boulanger n’a vu que du feu, et je n’ai même pas eu besoin de lui mentir. C’est sûr, je vais gagner les élections. »
Donald lui répond : « Ça c’est le genre de malhonnêteté que tu as démontré tout au long de ta vie. De la tricherie fourbe et égoïste. Je vais te montrer comment arriver au même résultat en restant honnête ! »
Donald se dirige vers le boulanger et lui dit : « Donnez-moi un croissant et je vais vous montrer un tour de magie. » Intrigué, le boulanger lui tend un croissant. Trump avale le croissant et lui en demande un deuxième pui un troisième et les avales l’un après l’autre.
Le boulanger commence à avoir des doutes sur le tour de magie et demande à Trump : « Qu’avez-vous fait des trois croissants ? »
Donald lui répond : « Regardez dans la poche d’Hilary. »




Deux amis, Patrick et Seb, qui travaillent dans une usine ont l’habitude d’aller boire une pinte de bière au pub du coin. Mais vu qu’ils n’avaient pas encore reçus leur paye ils étaient fauchés. Ils fouillent leurs poches pour voir s’ils ne trouvent pas de la monnaie, mais à eux deux ils arrivent à peine à réunir 4€.
« Ah merde … même pas assez pour une bière ! » s’exclame Patrick. Soudain Seb, regardant de l’autre côté de la rue vers la boucherie du quartier, a une idée de génie. « File mois le pognon Patrick, j’ai une idée. Tu vas voir ! »
Patrick lui tend la monnaie et Seb s’en va à la boucherie. Il ressort 5 minutes plus tard et montre à Patrick ce qu’il a acheté. « Une saucisse de Francfort ! Et c’est censé nous payer une pinte comment ?! » s’écria Patrick.
« Facile ! On entre dans un pub, on commande une pinte chacun, on boit la pinte, et quand le barman s’approchera de nous pour nous demander de payer, je sortirais la saucisse de ma braguette et tu la suceras tu vois ? J’te pari que le mec va être tellement dégouté qu’il va nous virer du bar ! Et du coup … la bière sera gratuite !! »
Patrick réfléchit un peu puis dit : « Mouais, pas mal comme plan ! On peut essayer. »
Seb cache la saucisse dans son pantalon et ils entrent dans le premier pub et commandent une pinte. Lorsqu’ils ont fini la pinte, et que le barman s’approche d’eux pour leur demander de payer, Seb ouvre sa braguette, sort ce qui ressemblait à sa bite et Patrick se met au boulot. « Sortez ! Sortez de mon bar les sodomites ! » s’écrie le barman.
Patrick et Seb s’en vont en courant du bar et remontent la rue. Ils se félicitaient d’avoir trouvé un plan aussi ingénieux et cherchent un autre bar, puis un autre, puis un autre. Et à chaque fois leur combine fonctionnait à merveille.
Quelques heures plus tard, les deux amis sont bien allumés. Ils titubent dans la rue et Patrick sort é Seb : « E-e-e-ecoute j-j-je crois que j’en peux plus … je suis trop b-b-bourré et j’ai mal aux genoux à force d-d-d-e m’agenouiller ! »
Sur ce Seb répond : « E-e-et tu crois que j’me s-s-sens comment moi ?! J’ai perdu la saucisse après le troisième bar ! »




Un vieil homme arriva aux portes du paradis. Un peu confus il ne se rappela plus de son nom et lorsque Saint-Pierre le lui demanda il lui avoua qu’il ne s’en rappela pas. C’est bien la première fois que cela arriva à St. Pierre et il ne savait pas quoi faire non plus. Par chance, Jésus passa par les grandes portes du paradis avec ses clubs de golf pour se faire quelques trous et Saint-Pierre l’interpella pour lui expliquer son problème.
Jésus, voulant rendre service, commença par demander quelques détails sur la vie du vieil homme. « Eh bien, je sais que je n’ai eu qu’un enfant … un fils » dit le vieil homme. Jésus sourit et lui dit : « Héhé, je suis fils unique aussi. Continue » Le vieil homme se gratta la tête et dit : « J’étais …. Une sorte de travailleur de bois, ou charpentier quelque chose comme ça. » Jésus lui répondit : « Tiens une autre coïncidence. Quelque chose d’autre dont vous vous rappelez ? ». Le vieil homme secoua la tête et lui dit : « Vous n’allez pas me croire mais mon fils … il a été porté à la vie grâce à un miracle. » Cette fois Jésus sourit, des larmes emplirent ses yeux et il dit au vieil homme en ouvrant ses bras : « Père !?! ». Le vieil homme écarquilla les yeux et lui répondit ému à son tour : « Pinocchio !?! »



Ceci est l’histoire d’un roi qui avait une superbe fille vierge. Il était roi d’un vaste et prospère royaume, mais il était obsédé par la pureté de sa fille. Il lui fit porter une ceinture de chasteté spéciale qui coupait tout objet qui serait inséré dedans afin de garantir sa virginité.
Un jour il appela 3 de ses meilleurs chevaliers, et leur dit qu’il devait partir en voyage diplomatique et qu’ils devaient veiller sur la princesse. Il les prévint aussi de ne pas la toucher.
A son retour, il convoqua ses trois chevaliers. Il demanda au premier chevalier de baisser son pantalon. Ce dernier s’exécuta et le roi constata qu’il n’avait plus de pénis. Il ordonnait alors de l’écarteler pour son infidélité.
Il demanda ensuite au deuxième chevalier de baisser son pantalon. Celui-ci, n’ayant pas vraiment le choix, s’exécuta et le roi constata de nouveau que son pénis était absent. Il ordonnait de nouveau d’écarteler le chevalier.
Il demanda finalement au troisième chevalier de baisser son pantalon. Il s’exécuta mais son pénis était toujours à sa place. Le roi lui dit satisfait : « Brave et fidèle chevalier ! Tu m’as prouvé que tu pouvais être loyal. Nomme ton désir et il sera exaucé ! »
Le chevalier lui répondit : « Efque ve peu avoi ma angue ‘ecousue ? »



Une femme d’un âge un peu plus avancé décida de se payer un lifting pour son anniversaire. Elle dépensa près de 5000€ pour cela et elle était très satisfaite du résultat en se regardant dans la glace. Lorsqu’elle partit du cabinet médical elle s’arrêta en centre-ville pour faire un peu de shopping. A la caisse d’un magasin de vêtements elle demanda au vendeur : « J’espère que cela ne vous dérange pas mais quel âge me donneriez-vous ? »
« Environ 35 ans » répondit le vendeur.
« J’ai 47 ans en réalité » disait la femme, ravie que le vendeur la rajeunisse.
Après cela, elle se rendit dans un McDonald’s pour le déjeuner et posa au serveur en caisse la même question.
Il lui répondit : « Je dirais environ 29 ans »
« J’ai 47 ans en réalité ! » lui répondit-elle en se sentant vraiment rajeunie.
Après son déjeuner elle se rendit à l’arrêt de bus le plus proche pour rentrer chez elle. Un homme âgé attendait pour le bus aussi et elle lui demanda son âge.
Il lui répondit : « Madame, j’ai 85 ans et ma vue baisse de jour en jour, mais lorsque j’étais jeune j’avais un moyen très efficace de deviner l’âge d’une femme… »
« Lequel ? » Lui demanda la femme curieuse
« Eh bien, c’est un peu délicat, mais en posant ma main sous la jupe d’une femme, sur son fruit défendu, j’arrivais à deviner son âge. »
La femme regarda autour d’elle et ne vit personne. Elle lui dit en se levant : « J’aimerais bien voir ça ! Allez-y, posez votre main entre mes jambes »
« Le vieil homme s’exécuta et après l’avoir tripotée durant une minute il retira sa main et lui répondit : « Ok, vous avez 47 ans. »
Étonnée, la femme lui dit : « Exactement ! Brillant ! Mais comment avez-vous fait ? »
Le vieil homme lui répondit : « J’étais derrière vous au McDonald’s »


Un inspecteur de la brigade des stupéfiants vint visiter une ferme isolée dans la campagne française. Il se présenta à l’agriculteur et lui dit : « Je suis ici pour inspecter vos champs et votre ferme. Nous avons des soupçons sur une grosse culture de cannabis dans le coin ». L’agriculteur lui répondit : « Bien sûr, allez-y mais ne vous aventurez pas derrière cette grange. »
L’inspecteur furieux, sortit son badge et le colla sous le nez de l’agriculteur en hurlant : « VOUS VOYEZ CA ?! C’est le badge que le gouvernement français m’a délivré. Je peux faire ce que je veux et aller ou je veux COMPRIS ? »
Le fermier lui répondit calmement : « D’accord, d’accord, je ne voulais pas vous offenser. Faites comme bon vous semble. »
Évidemment l’inspecteur commençait par chercher derrière la grange. Deux minutes plus tard, l’agriculteur entendit des cris : « AU SECOURS ! AU SECOURS ! » Il courrait jusqu’à la grange et vit l’inspecteur courir à toute allure à travers champs en s’éloignant et en criant « S’IL VOUS PLAIT ! AIDEZ-MOI ! AIDEZ-MOI ! »
Un énorme taureau tête baissée lui courait après à toute allure. L’agriculteur grimpa sur la barrière de l’enclos, mit ses deux mains en entonnoir autour de sa bouche et cria en direction de l’inspecteur : « MONTREZ-LUI SON BADGE ! »



« Bien sûr que je ne rigolerai pas » dit l’infirmière « En vingt ans de métier je ne me suis jamais moqué d’un patient »
« D’accord alors » dit le patient en baissant son pantalon et en révélant ce que devait être la plus petite fierté masculine que l’infirmière a vue de toute sa vie. La longueur et largeur devait correspondre à une pile AAA de télécommande. Incapable de se contrôler, l’infirmière commença à glousser et explosa finalement de rire. Un fou rire qui dura bien cinq minutes. Après avoir retrouvée son sérieux elle dit au patient : « Je suis réellement désolée, je ne sais pas ce qui m’a prise.  Je vous jure sur l’honneur en tant qu’infirmière et femme, que cela ne se reproduira plus. » Elle continua « Et maintenant dites-moi, quel est le problème ? »
Le patient lui répondit : « C’est enflé … »



Trois représentants religieux, un prêtre, un imam et un rabbin, veulent mesurer leurs compétences pour voir qui est le meilleur. Ils se mirent d’accord sur un pari qui consiste à trouver un ours et à le convertir à leur religion. Ils s’en vont accomplir leur tâche et se retrouvèrent quelques mois plus tard.
Le prêtre commença à faire son bilan : « J’ai voyagé jusqu’aux États-Unis pour trouver un ours, je lui ai enseigné durant des semaines la parole de Dieux et je suis arrivé à le baptiser. Il va tous les dimanches à l’église maintenant. »
« Ci rien ça ! » s’esclaffa l’Imam « Ji suis allé en Russie pour trouver un ours et ji lui ai appris le coran. Tous les jours, 5 fois par jour il est venu avec moi à la mosquée pour prier Allah ! et j’ai fini par l’amener à la Mecque. »
Les deux se tournèrent alors vers le rabbin qui avait la moitié de son corps en plâtre, une balafre sur sa joue, et était allongé dans un civière. Il commença péniblement à parler : « J’ai trouvé un ours en Ukraine et j’ai essayé de lui enseigner la Torah, mais arrivé à la Bar Mitzwah je pense que je n’aurais peut-être pas dû commencer par la circoncision. »



Un homme part en vacances en Egypte. Arrivé à l’aéroport il veut louer une voiture. L’homme derrière le comptoir du service de location de véhicules lui dit : « Je suis désolé, Missié nous n’avons plus di voiture. Mais on a di chameaux. »
« Des chameaux ?! » s’exclama le touriste « Qu’est-ce que je vais faire avec un chameau ? » L’employé lui répondit : « Vous savez Missié, ci pas si mal. Un chameau est rapide y pas chèr à entretenir. Il suffit di dire « Pfouh » pour qu’il avance et « Aishee » pour qu’il arrête. Tri simple. »
Voyant que le touriste n’avait pas vraiment le choix, il se décida pour le chameau. Il longeait dans le désert sur son chameau et voulait voir à quel point il était rapide. Il cria « Pfouh, pfouh, pfouh » et le chameau accéléra et fendit l’air sableux. Mais le touriste vit devant lui le bord d’une falaise et voulait arrêter le chameau. Mais il ne se rappelait plus du mot « Ayéééé, …. Aïooooo !! .. ah meerde ! » criait-il en panique « Ah si ça y est ! Aishee !!! » Les sabots dérapaient et se bloquèrent pour s’immobiliser à la limite de la bordure de la falaise.
Le touriste regarda par-dessus le chameau, s’essuya son front en sueur en disant avec soulagement « Pfouh ! »



Le directeur d’un centre funéraire avait sollicité les services d’un joueur de cornemuse pour l’enterrement d’un SDF. Ce SDF n’avait plus de famille, ni d’amis, et l’enterrement était prévu dans un petit cimetière perdu dans la campagne à côté d’une forêt. Le joueur de cornemuse a dû faire une bonne partie à pied du dernier village jusqu’à ce cimetière et il s’était perdu dans les bois.
Après une heure à retrouver le chemin il trouva finalement le cimetière. Visiblement le directeur du centre funéraire était parti et le cercueil était déjà dans le trou de la tombe. Il ne restait plus que les employées qui devaient refermer le trou, mais qui faisaient leur pause midi et mangeaient leur sandwich. Le joueur de cornemuse se sentit mal pour son retard et s’excusa auprès des hommes. Il se mit sur le côté de la tombe et regarda dans le trou. Ne savant plus quoi faire de mieux, il se mit à jouer.
Les employées arrêtaient de manger et se rassemblaient autour de lui. Le joueur fit littéralement pleurer sa cornemuse, il y mettait tout son cœur pour ce pauvre homme qui a vécu seul et misérable durant la plus grosse partie de sa vie. Son morceau dura 5 minutes et il y mettait toute la mélancolie qu’il pouvait y mettre au point de faire pleurer les employées. Tous versèrent des larmes, émus par les sons envoutants de la cornemuse.
Une fois terminé, sans même décrocher un mot, le joueur de cornemuse rangea son instrument et s’en alla sur le chemin vers le village sans se retourner. Il fit une vingtaine de mètres lorsqu’il entendit un des employées dire aux autres : « Je n’ai encore jamais vu un truc comme ça avant, et pourtant ça fait vingt ans que je pose des fosses septiques. »



Un homme, qui décida un jour de perdre du poids, appela une société qui vendait des programmes de régime. Il commanda le pack 5jours/2kg pour commencer. Le lendemain quelqu’un sonna à sa porte. Lorsqu’il ouvrit la porte une superbe et athlétique jeune femme se tenait devant lui en tennis et string. Sa poitrine était cachée avec un panneau sur lequel il pouvait lire : « Si tu m’attrapes, je serai à toi ». Il commença à lui courir après à toute allure mais elle le distançait au fil du temps et au bout d’une demi-heure il abandonna. Durant les 4 jours suivants la même femme se présenta tous les matins à sa porte, il la poursuivit de toutes ses forces mais rien à faire. Au bout du cinquième jour, lorsqu’il se pesa il constata qu’il avait perdu 2 kg. Satisfait du programme il commandait le programme intermédiaire 5jours/5kg. Le lendemain une superbe brune en tennis et string se tient devant sa porte avec un panneau sur sa poitrine disant : « Si tu m’attrapes, je serai à toi ». Même scénario, l’homme essayait de l’attraper durant les 5 jours, tous les matins en lui courant après durant des heures mais rien à faire, elle le distançait tout le temps. Au bout d’une semaine il se pesa et constata qu’il avait perdu 5kg.
Il rappela la société pour leur commander le pack pro 5jours/10kg. « Vous en êtes sûr ? » lui demanda la standardiste au téléphone. « C’est un programme assez dur vous savez. » L’homme lui dit qu’il en était sûr et en forme pour faire ce programme.
Le lendemain quelqu’un sonna à sa porte. Il ouvrit et vit un mec tout sourire avec des muscles saillants, en tennis et slip rose avec un panneau ou il y avait marqué : « Si je t’attrape, tu es à moi ! »



Un « médecin sans frontières » qui faisait l’humanitaire dans un pays en guerre trébucha sur une vieille lampe. Une fraction de seconde plus tard un génie apparait. Il dit au médecin : « Merci. Tu m’as libéré de cette lampe étroite dans laquelle je suis enfermé depuis des siècles. Pour te remercier je veux bien t’exaucer un vœu. »
« Bizarre » se dit le médecin, « d’habitude il y a toujours trois vœux, mais bon, un vœu est un vœu. » Il réfléchit un peu puis dit au génie : « Écoute génie, je ne vais pas faire mon égoïste vu que je suis en mission humanitaire, depuis des années le moyen orient ne connait que la guerre et la misère. » Il sortit une carte de sa poche pointa son doigt sur une zone et ajouta au génie « Fais en sorte que la paix règne sur tous ces pays »
Le génie répondit au médecin avec une larme à l’œil : « C’est très noble de ta part de penser à ces pauvres gens avant de penser à toi, seulement c’est en dehors de mes pouvoirs. Je ne pourrais malheureusement pas faire régner la paix dans tous ces pays. » Le médecin dissimula une larme, ému aussi à son tour. Il aurait tellement voulu que ce massacre cesse.
Le génie mit le bras autour de son épaule pour lui remonter le moral et lui dit : « Allons, allons je peux quand même faire autre chose pour toi. Tu as toujours droit à un vœu. Il n’y a rien d’autre que tu aimerais ? »
Le médecin se gratta la tête et lui répondit : « Eh bien, tu vois le cul à Mariah Carey ? Il est tout gros et fripé. J’aimerais bien qu’il soit à nouveau ferme et rebondi comme lorsqu’elle était plus jeune. »
Après une pause de quelques secondes le génie lui dit : « Fais-moi voir la carte, c’était quoi les pays déjà que tu me montrais ? »


Durant l’hiver dernier Laurent et son pote Cédric, partirent au ski hors-piste dans les alpes. Ils chargèrent leur camionnette avec tout le matériel et partirent sur les petites routes montagneuses.
Après quelques heures de route ils se retrouvèrent bloqués par une tempête de neige violente. Ils s’arrêtèrent devant le seul chalet qu’ils virent et frappèrent à la porte de ce dernier. Une très belle femme leur ouvrit la porte et ils lui demandèrent s’ils pouvaient passer la nuit sur place à cause des intempéries. Elle leur répondit qu’elle n’avait qu’une chambre d’amis et qu’ils devraient se partager le lit. Les deux amis étaient d’accord et ils dinèrent tous ensemble. Durant le repas ils apprirent que la femme avait perdu récemment son mari. Après le repas les deux amis se couchèrent dans la chambre d’amis.
Le lendemain ils se levèrent avec un soleil rayonnant et en pleine forme. Ils remerciaient la femme pour son hospitalité et partirent pour aller skier.
Neuf mois plus tard, Laurent reçut une lettre inattendue d’un avocat. Il mit du temps à comprendre, mais comprit que l’avocat était celui de la belle veuve chez laquelle lui et son pote Cédric avaient passé la nuit l’hiver dernier.
Il alla voir son ami et lui demanda : « Dis-moi Cédric, tu te rappelles l’hiver dernier de cette belle veuve qui nous avait hébergé en montagne il y a neuf mois ? » « Oui, bien sûr » répondit Cédric.
« Est-ce que tu ne te serais pas levé cette nuit-là pour aller lui rendre une petite visite dans sa chambre ? » demanda Laurent.
« Euhm, eh bien, oui c’est possible » admit Cédric un peu embarrassé de s’être fait démasquer.
« Et lui aurais-tu donné mon nom au lieu du tien ? » demanda Laurent.
Cédric rougit et il répondit : « Oui, … écoute, je suis désolé, je n’aurais pas dû faire ça, mais pourquoi cette question ? »
Laurent lui dit : « Eh bien elle vient juste de mourir et m’a légué tous ses biens ! »





Un croque mort rentre chez lui avec un énorme œil au beurre noir. « Qu’est-ce qu’il t’est arrivé chéri ?! » s’exclama sa femme lorsqu’elle vit son visage. « Oh j’ai eu une journée terrible mon amour » répondit-il. « J’ai dû aller dans un hôtel pour ramasser le corps d’un homme qui était mort dans son sommeil. Lorsque j’arriva dans l’hôtel, le directeur me disait que je ne pouvais pas le mettre dans la housse qu’on utilise habituellement parce qu’il avait une énorme érection avant de mourir et elle est restée raide après sa mort. Bref je suis allé dans la chambre et je vis un homme costaud allongé nu sur son lit avec une énorme érection. Du coup j’ai décidé de faire ce que je fais toujours dans ce genre de situation ; Je plie son sexe en deux pour pouvoir ensuite mettre le cadavre dans le sac et surtout pour pouvoir fermer le sac. » « Je vois » dit sa femme un peu écœurée. « Mais comment tu as eu ce coquard ? »
Le croque mort lui répondit : « Mauvaise chambre »


Un homme dégusta une soupe dans un restaurant gastronomique lorsqu’il échappa sa cuillère. Il fit signe au serveur et lui demanda s’il pouvait avoir une cuillère propre étant donné qu’elle était tombée par terre. Le serveur sortit aussitôt de sa poche une cuillère propre et la tendit au client. L’homme, impressionné, prit la cuillère et lui fit remarquer qu’il n’avait jamais vu un service aussi rapide. Le serveur lui répondit : « Vous savez Monsieur, statistiquement, les clients laissent toujours plus souvent tomber leur cuillère que les autres couverts, ce qui fait que chaque serveur en a une dans sa poche pour gagner du temps. »
L’homme continua son repas et, lorsqu’il demanda l’addition au serveur, il remarqua qu’un fil pendait le long de la braguette du serveur. En scrutant les autres serveurs il vit la même chose. Curieux, il demanda au même serveur à quoi servait le fil sur son pantalon. Il lui répondit : « Selon une étude de rentabilité, nous pouvons économiser 20% de notre temps pour aller aux toilettes en utilisant ce fil. Il suffit de tirer sur le fil pour sortir notre membre masculin pour uriner sans avoir besoin de nous laver les mains après. »
« C’est très intéressant » dit le client. « Mais comment faites-vous pour remettre votre membre dans le pantalon une fois fini ? ».
Le serveur regarda autour de lui, s’approcha du client avec une voix plus basse et lui répondit : « Je ne sais pas comment font les autres collègues Monsieur, mais moi j’utilise une cuillère. »


Un corbeau perché sur un arbre était en train de se détendre en fumant un joint. Un lézard, qui grimpait le long du tronc d’arbre, renifla la douce odeur, leva la tête et vit le corbeau vautré sur sa branche en faisant des ronds de fumée épaisse. Il l’interpella : « Hey ! tu partages une taffe ? » Le corbeau regarda en bas et lui répondit : « Ouais, bien sûr, monte ! ». Le lézard lui dit : « Ok, juste 5 minutes, je vais aller boire un coup au lac à côté. J’ai toujours la pâteuse quand je fume ! » Sur ces mots, le lézard descendit de l’arbre et se dirigea vers le lac. Il buvait et fut interrompu par un alligator qui se reposait au bord du lac. Il lui dit : « Bon je te laisse bronzer tranquille, je vais aller fumer un joint avec mon pote corbeau, si jamais ça t’intéresse, tu peux nous rejoindre. » Sur ces mots l’alligator se jeta sur le lézard et n’en fit qu’une bouchée. Il se dirigea ensuite dans le bois vers l’arbre ou le corbeau était installé. L’alligator l’interpella : « Hey ! » Le corbeau regarda en bas et dit : « Ouah ! Mais t’as bu combien d’eau toi ! »


Un homme était dans un vol de ligne lorsqu’il eut une envie urgente d’aller aux toilettes. Il tapota du pied à regarder la lumière rouge des toilettes indiquant « OCCUPE » et la porte restait verrouillée. L’hôtesse de l’air remarqua son problème et lui suggéra d’aller aux toilettes de devant réservé aux femmes, mais le prévint aussi de ne surtout pas utiliser les boutons sur le côté de ces toilettes.
L’homme alla à l’avant de l’appareil, s’enferma dans les toilettes des femmes et faisait son besoin urgent. Assis sur la cuvette en inox il remarqua en effet quatre boutons sur le côté portant les inscriptions « EC », « AC », « PT » et « RAT »
La curiosité prit le dessus malgré que l’hôtesse de l’air l’eût prévenu de ne pas y toucher. Il appuya sur le bouton « EC » Soudain il sentit un jet d’eau chaude qui lui lavait les fesses délicatement. Il pensait « Ouah ! Très agréable » Toujours curieux, il appuya sur le bouton « AC », et un flux d’air chaud vint lui sécher son postérieur. « De mieux en mieux » se disait-il. Puis il appuya sur le bouton « PT » qui envoya un jet de poudre de talk sur son fessier. « Les toilettes féminines ont quand même leur lot de confort ! » pensa-t-il en scrutant le dernier bouton. Il ne put évidemment pas s’empêcher d’appuyer dessus au vu des effets des trois derniers boutons.
Lorsqu’il se réveilla à l’hôpital il ne savait pas ce qui s’était passé. Il appela l’infirmière complètement en panique. Lorsqu’elle arriva il lui demanda : « Que s’est-il passé ? La seule chose dont je me rappelle c’est que j’étais aux toilettes dans l’avion ! »
L’infirmière lui répondit : « Oui et vous avez un passé un moment inoubliable sur ces toilettes jusqu’à ce que vous ayez appuyé sur le bouton « RAT » ce qui signifie Retrait Automatique de Tampons ! Votre Pénis est au niveau de vos genoux ! »



 

Nicolas Sarkozy meurt et arriva aux portes du Paradis devant Saint Pierre.
Saint Pierre l’informa que lui et sa commission étaient en plein débat s’il devait aller au Paradis ou en Enfer et qu’ils avaient décidé de lui laisser le choix après avoir visité chaque lieu.
« C’est décidé, je prends le paradis » dit Nicolas en haussant nerveusement une épaule.
Mais Saint Pierre lui dit que c’étaient les règles du jeu et qu’il devait d’abord passer une journée en enfer, puis une journée au paradis avant de pouvoir décider.
Ils prirent un ascenseur pour descendre le long d’une paroi rocheuse et sombre. Nicolas suait et était nerveux rien que de devoir passer une journée dans un endroit aussi chaud. Mais lorsque les portes de l’ascenseur s’ouvrirent, il vit un panorama à couper le souffle. Une plage avec des palmiers et une eau bleu turquoise. Sur cette plage il vit tous ses collègues et même tous les socialistes qu’il a toujours détestés. Ils étaient tous en train de prendre un apéritif avec des fruits de mers, du caviar. Ça lui rappelait sa visite chez Mouammar Kadhafi avant qu’il dût s’en débarrasser. Bref, il commença à festoyer avec ses collègues, Fillon, Hortefeux, Juppé et même Hollande. Le diable les rejoignît dans le courant de la soirée et ils mangèrent, burent dansèrent et chantèrent du Sardou sur fond karaoké.
Le lendemain, Saint-Pierre vint chercher Nicolas et ils remontèrent jusqu’au Paradis. Arrivé au paradis, il n’y avait pas de nourriture, mais il ne ressentait pas la faim non plus. Il n’y avait pas de boissons, mais il ne ressentait pas la soif. Il n’y avait pas de fête pour danser et chanter, mais il se sentait heureux et comblé.
Finalement Saint- Pierre lui demandait s’il avait pris une décision.
Sarko répondit : « Le Paradis c’est beau, très beau, mais je trouve que c’est plus animé en enfer. Je choisis l’enfer ! »
« En êtes-vous certain ? » lui demanda Saint-Pierre
« Oui, oui, oui ! allé envoyez moi à la plage en enfer ! »
Saint-Pierre le fit monter seul dans l’ascenseur et il descendit jusqu’à l’endroit où il était la veille. Mais au lieu de voir une plage, avec une mer turquoise et des palmiers, il ne vit qu’une étendue désertique s’étendant à l’infini.
Le diable apparut soudain devant lui. « Qu-qu-Que s’est-il passé ? ou sont passé mes amis ? la plage ? le sable et tout ce qu’il y avait la hier ? » bégaya l’ancien Président.
Le diable lui répondit : « Hier, on était en campagne. Aujourd’hui tu as voté ! » 


Lors d’une nuit très sombre et agitée, un capitaine d’un navire militaire vit au loin une lumière qui se dirigeait dans leur direction. Il leur envoya un message d’avertissement : « Changez votre cap de 15° est ! ». Quelques secondes plus tard il reçut la réponse « Changez votre cap vous-même 15° degrés Ouest ! » Furieux, il leur envoya un autre message : « Je suis le capitaine ! Changez votre cap ! » Sur ce il reçut la réponse : « Je suis le second, et je vous suggère de changer votre cap Monsieur. » Fous de rage maintenant le capitaine leur envoya un message menaçant : « Ça suffit ! Je suis un navire militaire armé jusqu’aux dents, ce n’est sûrement pas à moi de changer de cap et je ne le ferai pas ! » Quelques secondes plus tard il reçut la réponse : « Et moi je suis un phare … à vous de voir ! »


Gérard et son épouse Claudine avaient l’habitude d’aller chaque année au bord de la mer à Sète, et chaque année, lorsqu’ils se promenaient le long de la plage, elle lui disait « Chéri, j’aimerai bien faire un tour dans cet hélicoptère » en montrant un hélicoptère au bord de la plage qui proposait des tours de vols aux touristes. Gérard lui répondit chaque année « Je sais mon amour, mais ce tour en hélico coûte 150€ et 150€ c’est 150€ ! »
Une année Gérard et Claudine était en vacances au même endroit et Claudine dit à son époux : « Chéri, j’ai 85 ans maintenant. Si je ne fais pas ce tour en hélicoptère cette année je risque de ne jamais le faire. »
Henri lui répondit : « Mon amour ce tour en hélico coûte 150€ … et 150€ c’est … » « … C’est 150€. Je sais, je sais » interrompit-elle.
Le pilote de l’hélicoptère avait surpris leur conversation et les interpella : « Messieurs-Dames je vous propose une offre. Je vous embarque tous les deux pour votre tour en hélico. Si durant tout le tour vous arrivez à ne rien dire, mais pas un seul bruit, je vous offre la balade. Si vous dites ne serait-ce qu’un mot, en contrepartie, vous payez 150€. »
Le couple était d’accord et ils s’envolèrent le long de la côte en hélicoptère. Étant donné qu’ils restaient silencieux le pilote se dit qu’il allait les faire parler. Il commençait à slalomer avec l’hélicoptère, à tourner-virer dans tous les sens, mais ils ne dirent pas un mot. Il réessaya de les faire crier de peur, faisait de piqués redressés, des droites-gauches brusques, un looping mais rien ne sortit de la bouche du couple.
Lorsqu’ils atterrirent, le pilote se tourna vers Claudine et lui dit : « Je n’ai encore jamais vu ça. J’ai fait mes manœuvres les plus violentes et flippantes et vous n’avez rien dit. Je suis impressionné ! »
Claudine lui répondit : « Eh bien, pour être honnête avec vous, j’ai failli dire quelque chose lorsque mon mari est tombé de l’hélicoptère mais vous savez … 150€ c’est 150€ ! »


Capitaine Barbenoire se trouva dans une taverne sur l’île de la Tortue en train de boire massivement du Rhum. Il raconta ses exploits et ses blessures à un pirate se trouvant à côté de lui au comptoir du bar. Il y avait de quoi parce que le pirate remarqua que le capitaine Barbenoire avait une jambe en bois, un crochet et un cache œil sur son visage balafré. Il demanda au capitaine comment il avait perdu sa jambe. « Eh bien moussaillon, on traversait une tempête comme je n’en avais jamais vu auparavant. Je croyais que le navire allait se renverser tellement ça tanguait. A un moment donné j’ai perdu l’équilibre et je suis tombé à l’eau. Avant que mes gars aient pu me repêcher, un requin m’a bouffé ma jambe ! »
Le pirate, impressionné, demanda pour son crochet. « Eh bien, le crochet, c’est arrivé un peu plus tard. On était en train d’aborder un navire Espagnol pour le piller lorsqu’un boulet de canon lancé à toute allure rencontra ma main. Ça m’a l’a littéralement sectionné ! »
« Incroyable » s’écria le pirate. « Et pour votre cache œil ? » demanda le pirate. « Euh eh bien, c’est un peu moins glorieux » répondit le capitaine un peu gêné. « En fait une mouette m’a chier dans l’œil lorsque je levais la tête pour regarder la grande voile … »
« Une mouette ? Vous avez perdu l’œil parc qu’une mouette a chié dessus ? » disait le pirate étonné.
Le capitaine lui dit « Ben tu sais, c’était mon premier jour avec le crochet … »




Un gendarme arriva sur les lieux d’un accident de voiture. La voiture encore fumante s’était encastré dans un arbre. Deux personnes, un homme et une femme, s’étaient fait éjecter du véhicule et étaient étendus raide mort à côté du véhicule. Soudain un petit singe sauta en dehors de la voiture. Le gendarme le regarda et marmonna : « Si seulement tu pouvais parler … » Le singe le regarda et hocha la tête. « Tu comprends ce que je dis ? » dit le gendarme au singe tout surpris. Le singe hocha de nouveau la tête. « Tu as vu ce qui s’est passé ici ? » demanda le gendarme au singe. Encore une fois, le singe hocha la tête. « Qu’est-ce qu’ils faisaient ? » demanda le gendarme. Le singe imita une bouteille portée à la bouche. « Ils étaient en train de boire ? » demanda le gendarme. Le singe affirma en hochant la tête puis porta deux doigts serrés à ses lèvres. « Ils étaient aussi en train de fumer de l’herbe ??!! » Encore une fois le singe hocha la tête. Le gendarme se gratta la tête et lui demanda : « C’est tout ce qu’ils faisaient ? » Le singe fit alors un rond avec le pouce et l’index d’une main et enfonça rapidement l’index de l’autre main dans le trou. « Quoi ?! Ils étaient aussi en train de baiser ??!! La Totale ! » s’écria le gendarme. « Minute minute, qu’est-ce que tu faisais toi pour voir tout ça ? » demanda-t-il soudain. Le singe leva les deux mains en l’air comme s’il tenait un volant.


Un homme entra dans un bar et dit au Barman : « Un Whiskey-Coca s’il vous plait ! »
Le Barman lui répondit : « Je suis désolé monsieur, mais nous n’avons plus d’alcool dans la maison. Par contre nous avons des pommes magiques si vous voulez essayer. »
L’homme, assez curieux, hocha la tête et croqua dans une des pommes magiques. D’un air surpris il dit : « Hey cool ! Ça a un gout de Whiskey ! »
Le Barman lui dit : « Yep, essayez maintenant de croquer de l’autre côté de la pomme »
L’homme croqua de l’autre côté et la pomme avait le gout de Coca.
Il appela sur le champ son frère : « Hey frangin, vient au bar, tu ne vas jamais croire ce qu’ils ont ici ! »
Le frère entra dans le bar et commanda une Vodka Orange.
Le barman lui expliqua qu’ils n’avaient plus d’alcool mais des pommes magiques.
Le frère, déçu, lui commanda quand même une pomme.
Une fois qu’il croqua la pomme il dit au Barman : « Pas mal ! Pas mal ! Mais c’est un peu fort la Vodka seule. »
Le Barman lui dit de mordre l’autre côté de la pomme et le frère fut surpris lorsqu’il décela le goût d’orange.
Il appela son meilleur ami pour lui faire gouter les pommes magiques. Une fois l’ami du frère arrivé, il dit au barman : « Pour moi ça sera une pomme qui a le goût de chatte s’il vous plait ! »
Le barman tend une pomme à l’ami du frère et ce dernier mordit dedans.
« Pouah ! C’est quoi ça ! Ça a un goût de merde ?! » s’écria-t-il
Le barman lui répondit : « Essayez l’autre côté de la pomme »


Une femme avec son mari se rendirent chez le Gynécologue la veille de la naissance de leur premier enfant. Le gynécologue leur explique comment tout l’accouchement allait se dérouler le lendemain et leur parla d’une innovation technologique concernant la phase d’accouchement. « Nous avons un appareil de partage de douleur en phase de test dans nos locaux. Il permet de partager la douleur que la mère ressent avec le père de l’enfant, ce qui permet de soulager un peu Madame. Seriez-vous d’accord pour le tester ? » demanda le gynécologue en se tournant vers le mari.
Ce dernier répondit « Bien sûr si ça peut lui permettre de souffrir moins je suis prêt à supporter sa douleur ».
Le lendemain l’appareil est branché et mis en route. « Nous allons commencer à 10% pour vous » dit le gynécologue au mari. Celui-ci lui répond « Vous pouvez augmenter je ne sens rien. »
Le gynécologue augmenta à 20%, puis 30% puis 50%. « Je suis désolé docteur je ne sens toujours rien » dit le mari au gynécologue. Il tourna alors l’appareil à 100% ce qui fit que la mère ne sentait plus rien durant l’accouchement, mais le mari restait indifférent. Il ne ressentait pas la moindre douleur.
L’accouchement se déroula à merveille et ils purent repartir le lendemain à la maison avec leur bébé. C’est en arrivant à la maison qu’ils ont trouvé le facteur raide mort devant leur porte d’entrée.



Un couple marié alla à la messe, comme tous les dimanches. Etant donné que ces messes étaient assez longues et que la veille le mari se couchait tard, il s’endormait systématiquement à l’église.
Sa femme ne voyait pas cela d’un bon œil et décida d’apporter une longue épingle à cheveux en bois pour le piquer dans le lard s’il s’endormait à la prochaine messe.
Durant le sermon du prêtre, le mari commençait à s’endormir gentiment. Lorsque le prêtre arriva à la partie, « Et qui a créé tout ce qui vit autour de nous en six jours pour se reposer au septième ? », la femme piqua son mari avec l’épingle. Ce dernier sursauta et cria « DIEU DU CIEL !! »
Le prêtre dit « Exactement, exactement » et continua le sermon. Le mari croisa les bras et ne mit pas longtemps à se rendormir. Lorsque le prêtre arriva à la partie « Et qui est mort sur la croix pour pardonner nos péchés ? », la femme le piqua de nouveau dans le lard. Le mari sursauta de nouveau en criant « JESUS !! »
Le prêtre dit « Oui …. Oui, c’est Jésus » et continua son sermon
Le mari croisa les bras et fusilla sa femme du regard. Au bout de cinq minutes, il ferma de nouveau les yeux. Lorsque le prêtre arriva à la partie « Et que dit Eve à Adam lorsque naquit leur deuxième enfant ? », la femme tentait de piquer à nouveau son mari. Mais ce dernier lui attrapa le bras et hurla : « SI TU ENFONCES ENCORE UNE FOIS TON TRUC EN MOI, JE TE LA CASSE !! »




Un athée se promena dans les bois et admirait ce que « l’évolution de la nature » avait créé.
« Quels arbres magnifiques ! Quelles rivières abondantes ! Quels beaux animaux ! » se disait-il. Il longeait la rivière lorsqu’il entendit des branches craquer derrière lui dans les buissons. Lorsqu’il se retourna il vit avec horreur un énorme grizzly se dresser sur ses pattes arrière. L’ours fonça droit sur lui en poussant un cri à glacer le sang.
L’athée prit ses jambes à son cou et courrait de toutes ses forces. Il jeta un coup d’œil par-dessus son épaule et vit l’ours s’approcher de plus en plus. Il redoubla de force et fonça à travers buissons et feuillage aussi vite qu’il le put. Mais l’ours s’approcha de plus en plus et fit tomber l’athée qui roula sur quelques mètres avant de s’immobiliser par terre. L’ours se plaça au-dessus de lui, les deux griffes prêtes à frapper lorsque l’athée cria en désespoir : « Oh mon Dieu !! … »
Soudain le temps s’arrêta. L’ours était figé au-dessus de lui, la rivière ne coulait plus, on entendit plus de vent c’était le silence total. Une grosse voix venant du ciel tonna au-dessus de la tête de l’athée : « Tu m’as renié toute ta vie, tu as essayé toute ta vie de convaincre ton entourage que je n’existais pas et tu veux que je te sorte de cette situation j’imagine ? Puis-je compter sur ta foi dorénavant ? »
L’athée lui répondit « Ce serait hypocrite de ma part de te demander maintenant de me traiter comme un chrétien mais peut-être que tu pourrais convertir l’ours en bon chrétien croyant ? »
« Comme tu voudras » tonna la voix avant de disparaitre à jamais.
Le bruit de la rivière revint, celui du vent aussi et l’ours se remit à bouger. Il prit, tout en douceur, la tête de l’athée entre ses deux griffes et, en le regardant droit dans les yeux dit à voix haute : « Mon dieu je vous rend grâce pour ce repas. Amen »


Cette histoire se déroule dans le temps ou les grands royaumes menaient des batailles navales sur les mers avec leurs voiliers à canons imposants. Un de ses voiliers fendait les vagues sur l’océan atlantique lorsque le guetteur cria de son mat : « Navire ennemi en vue ! ». Le capitaine ordonna à son second : « Apportez-moi une chemise rouge ! » Le second un peu surpris par cette requête étrange alla chercher une chemise rouge dans la cabine du capitaine.
La bataille fit rage, rempli d’échanges de boulets de canon, de tirs de mousquet et de lames, mais le capitaine et son équipe coulèrent le bateau ennemi et furent victorieux.
Plus tard dans la journée le guetteur cria de nouveau de son mat : « Deux navires ennemi en vue ! ». Le capitaine ordonna à nouveau à son second de lui amener une chemise rouge. La bataille fit rage et fut sanglante cette fois. Le capitaine perdit la moitié de son équipage mais arriva finalement à couler les deux navires.
Dans la soirée le second demanda au capitaine : « Capitaine, pourquoi vous me demandiez une chemise rouge avant chaque bataille ? » Le capitaine lui répondit : « Eh bien si je suis blessé durant la bataille, la chemise rouge permet de masquer le sang et l’équipage aura toujours le courage de se battre si leur capitaine parait sain et sauf. »
L’équipage écoutait ce que racontait le capitaine et était impressionné et fier de lui. C’était un homme très courageux et ils eurent un énorme respect pour lui.
Le lendemain matin le guetteur cria de son mât : « Dix navires ennemi en vue ! » Le second regarda son capitaine dans l’attente de ses ordres. Le capitaine se tourna vers lui et lui ordonna : « Second, apportez-moi mon pantalon marron ! »

Une puce était assise sur un transat sur une plage de la côte d’azur. Elle avait une sale mine. Elle renifla, éternua et frissonna. Elle était enroulée dans une couverture pour avoir chaud. Un ami passa à côté et remarqua son état de santé. Il s’assit à côté de lui et lui dit : « Salut Paul ! Qu’est-ce qui ne vas pas ? Tu as une mine horrible ! »
Paul lui répondit : « Salut François, je ne me sens pas très bien. Je voulais descendre ici sur la côte pour l’hiver et le seul moyen que j’ai trouvé pour voyager c’était dans la moustache d’un mec ».
François lui dit : « Mais ce n’est pas si mal que ça une moustache … il y a pire tu sais ! »
« Oui sauf que ce mec est descendu de Paris jusqu’ici en moto ! » dit Paul
« Ah ouais je comprends que tu ais attrapé froid ! Je vais te donner un conseil pour voyager l’année prochaine. L’année prochaine tu iras à l’aéroport, tu trouves la plus jolie hôtesse de l’air, tu grimpes le long de ses jambes et tu t’installes tout en haut ou il y a un peu de fourrure. Tu verras c’est chaud, confortable et en plus, les belles hôtesses se parfument, ça sentira bon. Ça sera un voyage parfait pour toi ! »
Paul pensa que c’était une idée géniale et se sentit déjà mieux rien que de penser à l’année prochaine. « Merci François » dit Paul, « tu me sauves la vie ! »
Une année passe et François se balada à nouveau sur la promenade au bord de la plage quand il vit son ami Paul, enroulé dans une serviette, encore plus enrhumé que l’année passée.
« Paul ! tu as une mine encore plus effroyable que l’année passée ! » dit François
Paul était juste assis là et reniflait. « Tu es allé à l’aéroport comme je te l’ai conseillé ? » dit François. Paul acquiesça avec la tête. « As-tu trouvé la plus belle hôtesse de l’air ? » « O-o-o-Oui » bégaya Paul
« Alors que s’est-il passé ? » demanda François
Paul lui raconte : « Eh bien, je suis allé à l’aéroport, j’ai trouvé l’hôtesse de l’air. Elle était si belle ! » Paul éternua, puis poursuivit : « J’ai grimpé le long de ses jambes douces, sous sa jupe jusqu’à son minou. C’était si chaud et confortable, si délicieux que cela m’a bercé et je me suis endormi. » Paul sortit un mouchoir et se moucha très fort. Puis il conclut : « Et puis après je me suis réveillé sur la moustache d’un mec ! »



Pour ce cours de philo la prof a amené un certain nombre d’objets pour faire une démonstration à ses élèves.
Elle prit un pot vide et le remplit avec des cailloux à ras bord. Elle demanda ensuite à ses élèves si le pot était plein. Ils acquiescèrent.
Du coup elle prit du gravier et le mit dans le pot. Le gravier se plaça dans les interstices des cailloux jusqu’à ras bord du pot. Elle leur demanda de nouveau si le pot était plein, et ils affirmaient à nouveau qu’il l’était.
Elle prit ensuite du sable quelle saupoudra au-dessus du pot et qui remplit définitivement l’espace qui restait entre les cailloux et le gravier.
« Maintenant » dit la prof « Je veux que vous vous imaginiez que ce pot c’est votre vie. Les cailloux sont les choses très importantes de votre vie, votre famille, votre petit amie ou petite amie, votre santé, vos enfants, des choses qui vous rendront toujours heureux même après avoir tout perdu à côté.
Le gravier représente les autres choses comme votre travail, votre maison, votre voiture.
Le sable représente tout le reste. Les choses sans importance.
Si vous mettez d’abord le sable dans le pot, vous n’aurez pas de place pour le gravier, ni les cailloux. C’est la même chose concernant votre vie, si vous dépensez tout votre temps et votre énergie dans des choses sans importance, vous ne pourrez plus vos consacrer aux choses importantes. Faites attention aux choses qui vous rendent heureux. Jouez avec vos enfants, sortez avec votre amoureuse ou votre amoureux, maintenez-vous en bonne santé. Vous aurez toujours assez de temps pour travailler, nettoyer la maison ou faire la fête.
Faites toujours attention aux cailloux, aux choses importantes. Fixez-vous des priorités. Le reste n’est que du sable de toute façon. »
Sur cette belle métaphore philosophique, un étudiant se leva, et demanda s’il pouvait compléter la théorie. La prof lui donna son accord et il sortit une bouteille de bière de son sac. Il l’ouvrit et la vida sur le pot rempli de cailloux, gravier et sable. Le sable se gorgea lentement de bière jusqu’à être plein à ras bord. Pour de bon cette fois.
La morale de cette histoire est que peu importe à quel point ta vie est comblée et remplie, il reste toujours de la place pour de la bière.



Un homme était en train de conduire sur une nationale en dépassant la limitation de vitesse. Il passa devant un gendarme en moto qui se mit à sa poursuite. Une fois arrêté par le gendarme, sur le bas-côté de la route, ce dernier se mit à sa hauteur et lui fit signe de baisser sa vitre.
« Avez-vous remarqué à quelle vitesse vous rouliez ? » lui dit le gendarme
« Oui je sais, je suis en train de fuir à cause d’un braquage » lui dit l’homme
Le gendarme lui jeta un regard sceptique et lui demanda « Vous vous êtes fait braquer ? »
L’homme lui répondit sur un ton naturel « Non, je suis celui qui a commis le braquage »
Le gendarme le regarda choqué : « Donc vous êtes en train de me dire que vous rouliez trop vite ET que vous avez commis un braquage c’est ça ? »
« Oui » lui répondit l’homme calmement « J’ai le butin dans le coffre »
Le gendarme commença à se mettre en colère. « J’ai peur que vous alliez être obligé de me suivre monsieur » Il agrippa l’homme pour le maitriser dans sa voiture. « Ne faites pas ça » cria l’homme apeuré « J’ai un flingue dans la boite à gants ». Le gendarme se recula et sortit son arme de service en la braquant sur l’homme « Ne bougez plus ! » cria-t-il. Il appela ensuite les renforts en tenant l’homme en joue.
Une demi-heure plus tard la brigade d’intervention intervint avec hélicoptère, fourgon blindé et tout l’arsenal pour arrêter l’homme. Ils lui mirent les menottes et le placèrent dans une voiture de police. Le chef de la brigade d’intervention lui dit en montrant le gendarme du doigt « Monsieur, ce gendarme nous a indiqué que vous avez commis un braquage et que vous avez une arme dans votre boite à gants. Seulement voilà, nous n’avons rien trouvé de suspect dans votre voiture. »
L’homme lui répondit : « Ouais ouais, et je vous pari qu’il vous a dit aussi que je roulais trop vite ! »



Une dame âgée va chez son médecin généraliste. Le médecin lui demanda ce qui n’allait pas.
« Eh bien, j’ai depuis quelque temps des problèmes de gaz. Heureusement ils sont très silencieux et ne dégagent pas d’odeur. En fait vous seriez sans doute surpris si je vous disais que j’ai déjà évacué 4 vents depuis que je suis entré ici. »
« Je vois » dit le médecin. Il l’examina, et lui donna une prescription pour un médicament.
Deux semaines plus tard, la dame âgée revint voir le médecin, furieuse à propos du traitement prescrit par le médecin.
« Je ne sais pas exactement ce que vous m’avez prescrit ici docteur, mais cela n’a pas résolu mes problèmes de gaz. Ils sont toujours silencieux mais maintenant ils dégagent vraiment une odeur horrible ! » affirma-t-elle
Sur cela le docteur lui répondit : « Très bien. Je suis heureux de constater que votre sinusite est guérie. Maintenant je peux vous faire une prescription pour un rendez-vous chez l’ORL »



Une dame célibataire, âgée de 70 ans, décida un jour qu’il était temps pour elle de se marier. Pour trouver son homme elle posta une annonce dans le journal local : « Cherche mari ! Doit être dans ma tranche d’âge (70 ans), qui ne lèvera pas la main sur moi, qui n’est pas tout le temps dans mes pattes, et qui est bon au lit. Tous les prétendants, merci de vous présenter en personne chez moi. »
Le deuxième jour, quelqu’un sonna à sa porte. Lorsqu’elle ouvrit la porte elle vit un homme de son âge sans bras ni jambes dans un fauteuil roulant. La dame lui dit : « Vous ne pensez tout de même pas que je vais vous épouser ? Regardez-vous … vous n’avez pas de jambes ! » Le vieux monsieur sourit et lui répondit : « Comme ça je ne pourrais pas être dans vos pattes !»
Elle grogna. « Vous n’avez pas de bras non plus ! »
Le vieux monsieur sourit à nouveau : « Je ne pourrais pas lever la main sur vous non plus »
Elle releva un sourcil et regarda en direction de son entrejambe en lui disant : « Et vous êtes toujours bon au lit ? »
Sur cela, le vieux monsieur se fendit de son plus large sourire et lui dit : « Eh, j’ai quand même sonné à la porte non ? »



Dans la Russie profonde, deux amis partent chasser comme à leur habitude. Sillonnant la forêt ils arrivèrent sur une clairière d’herbe. Ils s’arrêtèrent devant un trou d’un mètre de diamètre sans pouvoir voir le fond. « Tu penses qu’il est profond ce trou ? » demande le premier chasseur à son ami. « Je ne sais pas, on a qu’à balancer quelque chose dedans et on attend le son de l’impact. » répondit son ami. Un vieux bloc moteur trainait juste à côté de ce trou avec quelques restes d’une voiture décomposée. Ils décidèrent, en bon russe bourrin qui se respecte, d’attraper le bloc moteur et de le balancer dans le trou. Une fois le bloc moteur jeté, quelques secondes plus tard, un chèvre arriva en courant et sauta à son tour dans le trou. « Ça c’était très bizarre » disait l’un des deux chasseurs. Quelques minutes plus tard, ils croisèrent un fermier qui cherchait sa chèvre. Les deux chasseurs lui expliquaient ce qu’ils avaient vu et que la chèvre avait sauté dans un trou sans fond. « C’est bizarre » disait le fermier « je l’ai attachée exprès à un vieux bloc moteur pour pas qu’elle s’échappe »


Un homme tomba en panne de voiture dans la campagne isolée en début de soirée. La seule chose qu’il vit autour de lui était un vieux monastère. Il se rendit devant ce monastère et frappa à la porte en bois massive. Un moine entrouvrit la porte et lui demanda ce qu’il pouvait faire pour lui. « Je suis tombé en panne un peu plus haut. Etant donné qu’il commence à faire nuit je me demandais si je pouvais passer la nuit chez vous. » lui dit l’homme. Les moines l’accueillirent, rompirent le pain avec lui et lui montraient la chambre dans laquelle il alla passer la nuit.
L’homme les remercia et se coucha. Avant de pouvoir s’endormir il entendit un bruit étrange qu’il n’avait jamais entendu auparavant. Il était envoutant, rassurant, apaisant … très difficile à décrire.
De quelle source ce bruit pouvait-il venir ? A quoi ce bruit ressemble ? L’homme était tellement obsédé par ce bruit qu’il n’arrivait pas à dormir de toute la nuit. Le lendemain il demanda à un des moines s’il avait entendu ce bruit étrange la nuit dernière et ce que c’était. Le moine lui répondit : « Je ne peux pas vous le dire, car vous n’êtes pas un moine » Il demanda à d’autres moines mais ils lui répondirent tous de la même manière. « Je ne peux pas vous le dire, car vous n’êtes pas un moine » Déçu il partit du monastère lorsque la dépanneuse arriva et remorqua sa voiture.
L’homme ne put jamais oublier ce son. Il l’obsédait durant quelques années, et un beau jour il retourna au monastère. Il supplia les moines de lui dire ce que c’était. Ils lui répondirent comme quelques années auparavant. « Nous ne pouvons pas vous le dire, parce que vous n’êtes pas un moine ». L’homme leur dit « Si le seul moyen de découvrir la source de ce son est de devenir moine, alors soit, je souhaite devenir moine. Que dois-je faire ? » Le moine supérieur lui dit « Tu dois abandonner ton train de vie actuel, voyager dans le monde entier et nous dire combien de brindilles d’herbe et de grains de sables il y a sur cette terre. Lorsque tu trouveras ces réponses, alors tu deviendras moine »
Durant des années l’homme voyagea de pays en pays, étudiant cultures, livres, plantes et autre. Il revint avec des cheveux grisonnants au monastère et se présenta devant les moines. Il leur dit : « Dans ma quête pour trouver la source de ce son j’ai traversé la terre entière afin de trouver les réponses à vos questions. Et la réponse à vos questions est que seul Dieu sait combien il y a de brindilles d’herbe et de grains de sable. La seule chose qu’un homme peut réellement connaitre c’est lui-même, et ce uniquement lorsqu’il est honnête avec lui-même et qu’il est prêt de s’accepter tel qu’il est. » Le moine supérieur lui répondit : « Bravo, tu as passé ton test. Tu es l’un des nôtres à présent. Nous allons maintenant te montrer le chemin vers le son sacré que tu as entendu des années auparavant.
Le moine supérieur montra une porte en bois à l’homme et lui dit : « Le son est derrière cette porte » Il lui donna la clé pour ouvrir la porte. L’homme ouvrit la porte et se trouva dans un long couloir avec une porte en or au bout. Il traversa le couloir. Son cœur battait de plus en plus fort. Après toutes ces années il allait enfin découvrir la source de ce son. Arrivé devant la porte en or, il enfonça la clé dans la serrure, tourna et ouvrit lentement la porte. Le son devint très clair maintenant. Ce qu’il vit fut incroyable. Il tomba sur ses genoux devant cet émerveillement qu’était la source du son …. Mais je ne peux pas vous dire ce que c’est, parce que vous n’êtes pas un moine.