Une femme d’un âge un peu plus avancé décida de se payer un lifting pour son anniversaire. Elle dépensa près de 5000€ pour cela et elle était très satisfaite du résultat en se regardant dans la glace. Lorsqu’elle partit du cabinet médical elle s’arrêta en centre-ville pour faire un peu de shopping. A la caisse d’un magasin de vêtements elle demanda au vendeur : « J’espère que cela ne vous dérange pas mais quel âge me donneriez-vous ? »
« Environ 35 ans » répondit le vendeur.
« J’ai 47 ans en réalité » disait la femme, ravie que le vendeur la rajeunisse.
Après cela, elle se rendit dans un McDonald’s pour le déjeuner et posa au serveur en caisse la même question.
Il lui répondit : « Je dirais environ 29 ans »
« J’ai 47 ans en réalité ! » lui répondit-elle en se sentant vraiment rajeunie.
Après son déjeuner elle se rendit à l’arrêt de bus le plus proche pour rentrer chez elle. Un homme âgé attendait pour le bus aussi et elle lui demanda son âge.
Il lui répondit : « Madame, j’ai 85 ans et ma vue baisse de jour en jour, mais lorsque j’étais jeune j’avais un moyen très efficace de deviner l’âge d’une femme… »
« Lequel ? » Lui demanda la femme curieuse
« Eh bien, c’est un peu délicat, mais en posant ma main sous la jupe d’une femme, sur son fruit défendu, j’arrivais à deviner son âge. »
La femme regarda autour d’elle et ne vit personne. Elle lui dit en se levant : « J’aimerais bien voir ça ! Allez-y, posez votre main entre mes jambes »
« Le vieil homme s’exécuta et après l’avoir tripotée durant une minute il retira sa main et lui répondit : « Ok, vous avez 47 ans. »
Étonnée, la femme lui dit : « Exactement ! Brillant ! Mais comment avez-vous fait ? »
Le vieil homme lui répondit : « J’étais derrière vous au McDonald’s »


Un inspecteur de la brigade des stupéfiants vint visiter une ferme isolée dans la campagne française. Il se présenta à l’agriculteur et lui dit : « Je suis ici pour inspecter vos champs et votre ferme. Nous avons des soupçons sur une grosse culture de cannabis dans le coin ». L’agriculteur lui répondit : « Bien sûr, allez-y mais ne vous aventurez pas derrière cette grange. »
L’inspecteur furieux, sortit son badge et le colla sous le nez de l’agriculteur en hurlant : « VOUS VOYEZ CA ?! C’est le badge que le gouvernement français m’a délivré. Je peux faire ce que je veux et aller ou je veux COMPRIS ? »
Le fermier lui répondit calmement : « D’accord, d’accord, je ne voulais pas vous offenser. Faites comme bon vous semble. »
Évidemment l’inspecteur commençait par chercher derrière la grange. Deux minutes plus tard, l’agriculteur entendit des cris : « AU SECOURS ! AU SECOURS ! » Il courrait jusqu’à la grange et vit l’inspecteur courir à toute allure à travers champs en s’éloignant et en criant « S’IL VOUS PLAIT ! AIDEZ-MOI ! AIDEZ-MOI ! »
Un énorme taureau tête baissée lui courait après à toute allure. L’agriculteur grimpa sur la barrière de l’enclos, mit ses deux mains en entonnoir autour de sa bouche et cria en direction de l’inspecteur : « MONTREZ-LUI SON BADGE ! »



« Bien sûr que je ne rigolerai pas » dit l’infirmière « En vingt ans de métier je ne me suis jamais moqué d’un patient »
« D’accord alors » dit le patient en baissant son pantalon et en révélant ce que devait être la plus petite fierté masculine que l’infirmière a vue de toute sa vie. La longueur et largeur devait correspondre à une pile AAA de télécommande. Incapable de se contrôler, l’infirmière commença à glousser et explosa finalement de rire. Un fou rire qui dura bien cinq minutes. Après avoir retrouvée son sérieux elle dit au patient : « Je suis réellement désolée, je ne sais pas ce qui m’a prise.  Je vous jure sur l’honneur en tant qu’infirmière et femme, que cela ne se reproduira plus. » Elle continua « Et maintenant dites-moi, quel est le problème ? »
Le patient lui répondit : « C’est enflé … »



Trois représentants religieux, un prêtre, un imam et un rabbin, veulent mesurer leurs compétences pour voir qui est le meilleur. Ils se mirent d’accord sur un pari qui consiste à trouver un ours et à le convertir à leur religion. Ils s’en vont accomplir leur tâche et se retrouvèrent quelques mois plus tard.
Le prêtre commença à faire son bilan : « J’ai voyagé jusqu’aux États-Unis pour trouver un ours, je lui ai enseigné durant des semaines la parole de Dieux et je suis arrivé à le baptiser. Il va tous les dimanches à l’église maintenant. »
« Ci rien ça ! » s’esclaffa l’Imam « Ji suis allé en Russie pour trouver un ours et ji lui ai appris le coran. Tous les jours, 5 fois par jour il est venu avec moi à la mosquée pour prier Allah ! et j’ai fini par l’amener à la Mecque. »
Les deux se tournèrent alors vers le rabbin qui avait la moitié de son corps en plâtre, une balafre sur sa joue, et était allongé dans un civière. Il commença péniblement à parler : « J’ai trouvé un ours en Ukraine et j’ai essayé de lui enseigner la Torah, mais arrivé à la Bar Mitzwah je pense que je n’aurais peut-être pas dû commencer par la circoncision. »



Un homme part en vacances en Egypte. Arrivé à l’aéroport il veut louer une voiture. L’homme derrière le comptoir du service de location de véhicules lui dit : « Je suis désolé, Missié nous n’avons plus di voiture. Mais on a di chameaux. »
« Des chameaux ?! » s’exclama le touriste « Qu’est-ce que je vais faire avec un chameau ? » L’employé lui répondit : « Vous savez Missié, ci pas si mal. Un chameau est rapide y pas chèr à entretenir. Il suffit di dire « Pfouh » pour qu’il avance et « Aishee » pour qu’il arrête. Tri simple. »
Voyant que le touriste n’avait pas vraiment le choix, il se décida pour le chameau. Il longeait dans le désert sur son chameau et voulait voir à quel point il était rapide. Il cria « Pfouh, pfouh, pfouh » et le chameau accéléra et fendit l’air sableux. Mais le touriste vit devant lui le bord d’une falaise et voulait arrêter le chameau. Mais il ne se rappelait plus du mot « Ayéééé, …. Aïooooo !! .. ah meerde ! » criait-il en panique « Ah si ça y est ! Aishee !!! » Les sabots dérapaient et se bloquèrent pour s’immobiliser à la limite de la bordure de la falaise.
Le touriste regarda par-dessus le chameau, s’essuya son front en sueur en disant avec soulagement « Pfouh ! »



Le directeur d’un centre funéraire avait sollicité les services d’un joueur de cornemuse pour l’enterrement d’un SDF. Ce SDF n’avait plus de famille, ni d’amis, et l’enterrement était prévu dans un petit cimetière perdu dans la campagne à côté d’une forêt. Le joueur de cornemuse a dû faire une bonne partie à pied du dernier village jusqu’à ce cimetière et il s’était perdu dans les bois.
Après une heure à retrouver le chemin il trouva finalement le cimetière. Visiblement le directeur du centre funéraire était parti et le cercueil était déjà dans le trou de la tombe. Il ne restait plus que les employées qui devaient refermer le trou, mais qui faisaient leur pause midi et mangeaient leur sandwich. Le joueur de cornemuse se sentit mal pour son retard et s’excusa auprès des hommes. Il se mit sur le côté de la tombe et regarda dans le trou. Ne savant plus quoi faire de mieux, il se mit à jouer.
Les employées arrêtaient de manger et se rassemblaient autour de lui. Le joueur fit littéralement pleurer sa cornemuse, il y mettait tout son cœur pour ce pauvre homme qui a vécu seul et misérable durant la plus grosse partie de sa vie. Son morceau dura 5 minutes et il y mettait toute la mélancolie qu’il pouvait y mettre au point de faire pleurer les employées. Tous versèrent des larmes, émus par les sons envoutants de la cornemuse.
Une fois terminé, sans même décrocher un mot, le joueur de cornemuse rangea son instrument et s’en alla sur le chemin vers le village sans se retourner. Il fit une vingtaine de mètres lorsqu’il entendit un des employées dire aux autres : « Je n’ai encore jamais vu un truc comme ça avant, et pourtant ça fait vingt ans que je pose des fosses septiques. »



Un homme, qui décida un jour de perdre du poids, appela une société qui vendait des programmes de régime. Il commanda le pack 5jours/2kg pour commencer. Le lendemain quelqu’un sonna à sa porte. Lorsqu’il ouvrit la porte une superbe et athlétique jeune femme se tenait devant lui en tennis et string. Sa poitrine était cachée avec un panneau sur lequel il pouvait lire : « Si tu m’attrapes, je serai à toi ». Il commença à lui courir après à toute allure mais elle le distançait au fil du temps et au bout d’une demi-heure il abandonna. Durant les 4 jours suivants la même femme se présenta tous les matins à sa porte, il la poursuivit de toutes ses forces mais rien à faire. Au bout du cinquième jour, lorsqu’il se pesa il constata qu’il avait perdu 2 kg. Satisfait du programme il commandait le programme intermédiaire 5jours/5kg. Le lendemain une superbe brune en tennis et string se tient devant sa porte avec un panneau sur sa poitrine disant : « Si tu m’attrapes, je serai à toi ». Même scénario, l’homme essayait de l’attraper durant les 5 jours, tous les matins en lui courant après durant des heures mais rien à faire, elle le distançait tout le temps. Au bout d’une semaine il se pesa et constata qu’il avait perdu 5kg.
Il rappela la société pour leur commander le pack pro 5jours/10kg. « Vous en êtes sûr ? » lui demanda la standardiste au téléphone. « C’est un programme assez dur vous savez. » L’homme lui dit qu’il en était sûr et en forme pour faire ce programme.
Le lendemain quelqu’un sonna à sa porte. Il ouvrit et vit un mec tout sourire avec des muscles saillants, en tennis et slip rose avec un panneau ou il y avait marqué : « Si je t’attrape, tu es à moi ! »



Un « médecin sans frontières » qui faisait l’humanitaire dans un pays en guerre trébucha sur une vieille lampe. Une fraction de seconde plus tard un génie apparait. Il dit au médecin : « Merci. Tu m’as libéré de cette lampe étroite dans laquelle je suis enfermé depuis des siècles. Pour te remercier je veux bien t’exaucer un vœu. »
« Bizarre » se dit le médecin, « d’habitude il y a toujours trois vœux, mais bon, un vœu est un vœu. » Il réfléchit un peu puis dit au génie : « Écoute génie, je ne vais pas faire mon égoïste vu que je suis en mission humanitaire, depuis des années le moyen orient ne connait que la guerre et la misère. » Il sortit une carte de sa poche pointa son doigt sur une zone et ajouta au génie « Fais en sorte que la paix règne sur tous ces pays »
Le génie répondit au médecin avec une larme à l’œil : « C’est très noble de ta part de penser à ces pauvres gens avant de penser à toi, seulement c’est en dehors de mes pouvoirs. Je ne pourrais malheureusement pas faire régner la paix dans tous ces pays. » Le médecin dissimula une larme, ému aussi à son tour. Il aurait tellement voulu que ce massacre cesse.
Le génie mit le bras autour de son épaule pour lui remonter le moral et lui dit : « Allons, allons je peux quand même faire autre chose pour toi. Tu as toujours droit à un vœu. Il n’y a rien d’autre que tu aimerais ? »
Le médecin se gratta la tête et lui répondit : « Eh bien, tu vois le cul à Mariah Carey ? Il est tout gros et fripé. J’aimerais bien qu’il soit à nouveau ferme et rebondi comme lorsqu’elle était plus jeune. »
Après une pause de quelques secondes le génie lui dit : « Fais-moi voir la carte, c’était quoi les pays déjà que tu me montrais ? »


Durant l’hiver dernier Laurent et son pote Cédric, partirent au ski hors-piste dans les alpes. Ils chargèrent leur camionnette avec tout le matériel et partirent sur les petites routes montagneuses.
Après quelques heures de route ils se retrouvèrent bloqués par une tempête de neige violente. Ils s’arrêtèrent devant le seul chalet qu’ils virent et frappèrent à la porte de ce dernier. Une très belle femme leur ouvrit la porte et ils lui demandèrent s’ils pouvaient passer la nuit sur place à cause des intempéries. Elle leur répondit qu’elle n’avait qu’une chambre d’amis et qu’ils devraient se partager le lit. Les deux amis étaient d’accord et ils dinèrent tous ensemble. Durant le repas ils apprirent que la femme avait perdu récemment son mari. Après le repas les deux amis se couchèrent dans la chambre d’amis.
Le lendemain ils se levèrent avec un soleil rayonnant et en pleine forme. Ils remerciaient la femme pour son hospitalité et partirent pour aller skier.
Neuf mois plus tard, Laurent reçut une lettre inattendue d’un avocat. Il mit du temps à comprendre, mais comprit que l’avocat était celui de la belle veuve chez laquelle lui et son pote Cédric avaient passé la nuit l’hiver dernier.
Il alla voir son ami et lui demanda : « Dis-moi Cédric, tu te rappelles l’hiver dernier de cette belle veuve qui nous avait hébergé en montagne il y a neuf mois ? » « Oui, bien sûr » répondit Cédric.
« Est-ce que tu ne te serais pas levé cette nuit-là pour aller lui rendre une petite visite dans sa chambre ? » demanda Laurent.
« Euhm, eh bien, oui c’est possible » admit Cédric un peu embarrassé de s’être fait démasquer.
« Et lui aurais-tu donné mon nom au lieu du tien ? » demanda Laurent.
Cédric rougit et il répondit : « Oui, … écoute, je suis désolé, je n’aurais pas dû faire ça, mais pourquoi cette question ? »
Laurent lui dit : « Eh bien elle vient juste de mourir et m’a légué tous ses biens ! »





Un croque mort rentre chez lui avec un énorme œil au beurre noir. « Qu’est-ce qu’il t’est arrivé chéri ?! » s’exclama sa femme lorsqu’elle vit son visage. « Oh j’ai eu une journée terrible mon amour » répondit-il. « J’ai dû aller dans un hôtel pour ramasser le corps d’un homme qui était mort dans son sommeil. Lorsque j’arriva dans l’hôtel, le directeur me disait que je ne pouvais pas le mettre dans la housse qu’on utilise habituellement parce qu’il avait une énorme érection avant de mourir et elle est restée raide après sa mort. Bref je suis allé dans la chambre et je vis un homme costaud allongé nu sur son lit avec une énorme érection. Du coup j’ai décidé de faire ce que je fais toujours dans ce genre de situation ; Je plie son sexe en deux pour pouvoir ensuite mettre le cadavre dans le sac et surtout pour pouvoir fermer le sac. » « Je vois » dit sa femme un peu écœurée. « Mais comment tu as eu ce coquard ? »
Le croque mort lui répondit : « Mauvaise chambre »


Un homme dégusta une soupe dans un restaurant gastronomique lorsqu’il échappa sa cuillère. Il fit signe au serveur et lui demanda s’il pouvait avoir une cuillère propre étant donné qu’elle était tombée par terre. Le serveur sortit aussitôt de sa poche une cuillère propre et la tendit au client. L’homme, impressionné, prit la cuillère et lui fit remarquer qu’il n’avait jamais vu un service aussi rapide. Le serveur lui répondit : « Vous savez Monsieur, statistiquement, les clients laissent toujours plus souvent tomber leur cuillère que les autres couverts, ce qui fait que chaque serveur en a une dans sa poche pour gagner du temps. »
L’homme continua son repas et, lorsqu’il demanda l’addition au serveur, il remarqua qu’un fil pendait le long de la braguette du serveur. En scrutant les autres serveurs il vit la même chose. Curieux, il demanda au même serveur à quoi servait le fil sur son pantalon. Il lui répondit : « Selon une étude de rentabilité, nous pouvons économiser 20% de notre temps pour aller aux toilettes en utilisant ce fil. Il suffit de tirer sur le fil pour sortir notre membre masculin pour uriner sans avoir besoin de nous laver les mains après. »
« C’est très intéressant » dit le client. « Mais comment faites-vous pour remettre votre membre dans le pantalon une fois fini ? ».
Le serveur regarda autour de lui, s’approcha du client avec une voix plus basse et lui répondit : « Je ne sais pas comment font les autres collègues Monsieur, mais moi j’utilise une cuillère. »


Un corbeau perché sur un arbre était en train de se détendre en fumant un joint. Un lézard, qui grimpait le long du tronc d’arbre, renifla la douce odeur, leva la tête et vit le corbeau vautré sur sa branche en faisant des ronds de fumée épaisse. Il l’interpella : « Hey ! tu partages une taffe ? » Le corbeau regarda en bas et lui répondit : « Ouais, bien sûr, monte ! ». Le lézard lui dit : « Ok, juste 5 minutes, je vais aller boire un coup au lac à côté. J’ai toujours la pâteuse quand je fume ! » Sur ces mots, le lézard descendit de l’arbre et se dirigea vers le lac. Il buvait et fut interrompu par un alligator qui se reposait au bord du lac. Il lui dit : « Bon je te laisse bronzer tranquille, je vais aller fumer un joint avec mon pote corbeau, si jamais ça t’intéresse, tu peux nous rejoindre. » Sur ces mots l’alligator se jeta sur le lézard et n’en fit qu’une bouchée. Il se dirigea ensuite dans le bois vers l’arbre ou le corbeau était installé. L’alligator l’interpella : « Hey ! » Le corbeau regarda en bas et dit : « Ouah ! Mais t’as bu combien d’eau toi ! »


Un homme était dans un vol de ligne lorsqu’il eut une envie urgente d’aller aux toilettes. Il tapota du pied à regarder la lumière rouge des toilettes indiquant « OCCUPE » et la porte restait verrouillée. L’hôtesse de l’air remarqua son problème et lui suggéra d’aller aux toilettes de devant réservé aux femmes, mais le prévint aussi de ne surtout pas utiliser les boutons sur le côté de ces toilettes.
L’homme alla à l’avant de l’appareil, s’enferma dans les toilettes des femmes et faisait son besoin urgent. Assis sur la cuvette en inox il remarqua en effet quatre boutons sur le côté portant les inscriptions « EC », « AC », « PT » et « RAT »
La curiosité prit le dessus malgré que l’hôtesse de l’air l’eût prévenu de ne pas y toucher. Il appuya sur le bouton « EC » Soudain il sentit un jet d’eau chaude qui lui lavait les fesses délicatement. Il pensait « Ouah ! Très agréable » Toujours curieux, il appuya sur le bouton « AC », et un flux d’air chaud vint lui sécher son postérieur. « De mieux en mieux » se disait-il. Puis il appuya sur le bouton « PT » qui envoya un jet de poudre de talk sur son fessier. « Les toilettes féminines ont quand même leur lot de confort ! » pensa-t-il en scrutant le dernier bouton. Il ne put évidemment pas s’empêcher d’appuyer dessus au vu des effets des trois derniers boutons.
Lorsqu’il se réveilla à l’hôpital il ne savait pas ce qui s’était passé. Il appela l’infirmière complètement en panique. Lorsqu’elle arriva il lui demanda : « Que s’est-il passé ? La seule chose dont je me rappelle c’est que j’étais aux toilettes dans l’avion ! »
L’infirmière lui répondit : « Oui et vous avez un passé un moment inoubliable sur ces toilettes jusqu’à ce que vous ayez appuyé sur le bouton « RAT » ce qui signifie Retrait Automatique de Tampons ! Votre Pénis est au niveau de vos genoux ! »



 

Nicolas Sarkozy meurt et arriva aux portes du Paradis devant Saint Pierre.
Saint Pierre l’informa que lui et sa commission étaient en plein débat s’il devait aller au Paradis ou en Enfer et qu’ils avaient décidé de lui laisser le choix après avoir visité chaque lieu.
« C’est décidé, je prends le paradis » dit Nicolas en haussant nerveusement une épaule.
Mais Saint Pierre lui dit que c’étaient les règles du jeu et qu’il devait d’abord passer une journée en enfer, puis une journée au paradis avant de pouvoir décider.
Ils prirent un ascenseur pour descendre le long d’une paroi rocheuse et sombre. Nicolas suait et était nerveux rien que de devoir passer une journée dans un endroit aussi chaud. Mais lorsque les portes de l’ascenseur s’ouvrirent, il vit un panorama à couper le souffle. Une plage avec des palmiers et une eau bleu turquoise. Sur cette plage il vit tous ses collègues et même tous les socialistes qu’il a toujours détestés. Ils étaient tous en train de prendre un apéritif avec des fruits de mers, du caviar. Ça lui rappelait sa visite chez Mouammar Kadhafi avant qu’il dût s’en débarrasser. Bref, il commença à festoyer avec ses collègues, Fillon, Hortefeux, Juppé et même Hollande. Le diable les rejoignît dans le courant de la soirée et ils mangèrent, burent dansèrent et chantèrent du Sardou sur fond karaoké.
Le lendemain, Saint-Pierre vint chercher Nicolas et ils remontèrent jusqu’au Paradis. Arrivé au paradis, il n’y avait pas de nourriture, mais il ne ressentait pas la faim non plus. Il n’y avait pas de boissons, mais il ne ressentait pas la soif. Il n’y avait pas de fête pour danser et chanter, mais il se sentait heureux et comblé.
Finalement Saint- Pierre lui demandait s’il avait pris une décision.
Sarko répondit : « Le Paradis c’est beau, très beau, mais je trouve que c’est plus animé en enfer. Je choisis l’enfer ! »
« En êtes-vous certain ? » lui demanda Saint-Pierre
« Oui, oui, oui ! allé envoyez moi à la plage en enfer ! »
Saint-Pierre le fit monter seul dans l’ascenseur et il descendit jusqu’à l’endroit où il était la veille. Mais au lieu de voir une plage, avec une mer turquoise et des palmiers, il ne vit qu’une étendue désertique s’étendant à l’infini.
Le diable apparut soudain devant lui. « Qu-qu-Que s’est-il passé ? ou sont passé mes amis ? la plage ? le sable et tout ce qu’il y avait la hier ? » bégaya l’ancien Président.
Le diable lui répondit : « Hier, on était en campagne. Aujourd’hui tu as voté ! » 


Lors d’une nuit très sombre et agitée, un capitaine d’un navire militaire vit au loin une lumière qui se dirigeait dans leur direction. Il leur envoya un message d’avertissement : « Changez votre cap de 15° est ! ». Quelques secondes plus tard il reçut la réponse « Changez votre cap vous-même 15° degrés Ouest ! » Furieux, il leur envoya un autre message : « Je suis le capitaine ! Changez votre cap ! » Sur ce il reçut la réponse : « Je suis le second, et je vous suggère de changer votre cap Monsieur. » Fous de rage maintenant le capitaine leur envoya un message menaçant : « Ça suffit ! Je suis un navire militaire armé jusqu’aux dents, ce n’est sûrement pas à moi de changer de cap et je ne le ferai pas ! » Quelques secondes plus tard il reçut la réponse : « Et moi je suis un phare … à vous de voir ! »


Gérard et son épouse Claudine avaient l’habitude d’aller chaque année au bord de la mer à Sète, et chaque année, lorsqu’ils se promenaient le long de la plage, elle lui disait « Chéri, j’aimerai bien faire un tour dans cet hélicoptère » en montrant un hélicoptère au bord de la plage qui proposait des tours de vols aux touristes. Gérard lui répondit chaque année « Je sais mon amour, mais ce tour en hélico coûte 150€ et 150€ c’est 150€ ! »
Une année Gérard et Claudine était en vacances au même endroit et Claudine dit à son époux : « Chéri, j’ai 85 ans maintenant. Si je ne fais pas ce tour en hélicoptère cette année je risque de ne jamais le faire. »
Henri lui répondit : « Mon amour ce tour en hélico coûte 150€ … et 150€ c’est … » « … C’est 150€. Je sais, je sais » interrompit-elle.
Le pilote de l’hélicoptère avait surpris leur conversation et les interpella : « Messieurs-Dames je vous propose une offre. Je vous embarque tous les deux pour votre tour en hélico. Si durant tout le tour vous arrivez à ne rien dire, mais pas un seul bruit, je vous offre la balade. Si vous dites ne serait-ce qu’un mot, en contrepartie, vous payez 150€. »
Le couple était d’accord et ils s’envolèrent le long de la côte en hélicoptère. Étant donné qu’ils restaient silencieux le pilote se dit qu’il allait les faire parler. Il commençait à slalomer avec l’hélicoptère, à tourner-virer dans tous les sens, mais ils ne dirent pas un mot. Il réessaya de les faire crier de peur, faisait de piqués redressés, des droites-gauches brusques, un looping mais rien ne sortit de la bouche du couple.
Lorsqu’ils atterrirent, le pilote se tourna vers Claudine et lui dit : « Je n’ai encore jamais vu ça. J’ai fait mes manœuvres les plus violentes et flippantes et vous n’avez rien dit. Je suis impressionné ! »
Claudine lui répondit : « Eh bien, pour être honnête avec vous, j’ai failli dire quelque chose lorsque mon mari est tombé de l’hélicoptère mais vous savez … 150€ c’est 150€ ! »


Capitaine Barbenoire se trouva dans une taverne sur l’île de la Tortue en train de boire massivement du Rhum. Il raconta ses exploits et ses blessures à un pirate se trouvant à côté de lui au comptoir du bar. Il y avait de quoi parce que le pirate remarqua que le capitaine Barbenoire avait une jambe en bois, un crochet et un cache œil sur son visage balafré. Il demanda au capitaine comment il avait perdu sa jambe. « Eh bien moussaillon, on traversait une tempête comme je n’en avais jamais vu auparavant. Je croyais que le navire allait se renverser tellement ça tanguait. A un moment donné j’ai perdu l’équilibre et je suis tombé à l’eau. Avant que mes gars aient pu me repêcher, un requin m’a bouffé ma jambe ! »
Le pirate, impressionné, demanda pour son crochet. « Eh bien, le crochet, c’est arrivé un peu plus tard. On était en train d’aborder un navire Espagnol pour le piller lorsqu’un boulet de canon lancé à toute allure rencontra ma main. Ça m’a l’a littéralement sectionné ! »
« Incroyable » s’écria le pirate. « Et pour votre cache œil ? » demanda le pirate. « Euh eh bien, c’est un peu moins glorieux » répondit le capitaine un peu gêné. « En fait une mouette m’a chier dans l’œil lorsque je levais la tête pour regarder la grande voile … »
« Une mouette ? Vous avez perdu l’œil parc qu’une mouette a chié dessus ? » disait le pirate étonné.
Le capitaine lui dit « Ben tu sais, c’était mon premier jour avec le crochet … »




Un gendarme arriva sur les lieux d’un accident de voiture. La voiture encore fumante s’était encastré dans un arbre. Deux personnes, un homme et une femme, s’étaient fait éjecter du véhicule et étaient étendus raide mort à côté du véhicule. Soudain un petit singe sauta en dehors de la voiture. Le gendarme le regarda et marmonna : « Si seulement tu pouvais parler … » Le singe le regarda et hocha la tête. « Tu comprends ce que je dis ? » dit le gendarme au singe tout surpris. Le singe hocha de nouveau la tête. « Tu as vu ce qui s’est passé ici ? » demanda le gendarme au singe. Encore une fois, le singe hocha la tête. « Qu’est-ce qu’ils faisaient ? » demanda le gendarme. Le singe imita une bouteille portée à la bouche. « Ils étaient en train de boire ? » demanda le gendarme. Le singe affirma en hochant la tête puis porta deux doigts serrés à ses lèvres. « Ils étaient aussi en train de fumer de l’herbe ??!! » Encore une fois le singe hocha la tête. Le gendarme se gratta la tête et lui demanda : « C’est tout ce qu’ils faisaient ? » Le singe fit alors un rond avec le pouce et l’index d’une main et enfonça rapidement l’index de l’autre main dans le trou. « Quoi ?! Ils étaient aussi en train de baiser ??!! La Totale ! » s’écria le gendarme. « Minute minute, qu’est-ce que tu faisais toi pour voir tout ça ? » demanda-t-il soudain. Le singe leva les deux mains en l’air comme s’il tenait un volant.


Un homme entra dans un bar et dit au Barman : « Un Whiskey-Coca s’il vous plait ! »
Le Barman lui répondit : « Je suis désolé monsieur, mais nous n’avons plus d’alcool dans la maison. Par contre nous avons des pommes magiques si vous voulez essayer. »
L’homme, assez curieux, hocha la tête et croqua dans une des pommes magiques. D’un air surpris il dit : « Hey cool ! Ça a un gout de Whiskey ! »
Le Barman lui dit : « Yep, essayez maintenant de croquer de l’autre côté de la pomme »
L’homme croqua de l’autre côté et la pomme avait le gout de Coca.
Il appela sur le champ son frère : « Hey frangin, vient au bar, tu ne vas jamais croire ce qu’ils ont ici ! »
Le frère entra dans le bar et commanda une Vodka Orange.
Le barman lui expliqua qu’ils n’avaient plus d’alcool mais des pommes magiques.
Le frère, déçu, lui commanda quand même une pomme.
Une fois qu’il croqua la pomme il dit au Barman : « Pas mal ! Pas mal ! Mais c’est un peu fort la Vodka seule. »
Le Barman lui dit de mordre l’autre côté de la pomme et le frère fut surpris lorsqu’il décela le goût d’orange.
Il appela son meilleur ami pour lui faire gouter les pommes magiques. Une fois l’ami du frère arrivé, il dit au barman : « Pour moi ça sera une pomme qui a le goût de chatte s’il vous plait ! »
Le barman tend une pomme à l’ami du frère et ce dernier mordit dedans.
« Pouah ! C’est quoi ça ! Ça a un goût de merde ?! » s’écria-t-il
Le barman lui répondit : « Essayez l’autre côté de la pomme »


Une femme avec son mari se rendirent chez le Gynécologue la veille de la naissance de leur premier enfant. Le gynécologue leur explique comment tout l’accouchement allait se dérouler le lendemain et leur parla d’une innovation technologique concernant la phase d’accouchement. « Nous avons un appareil de partage de douleur en phase de test dans nos locaux. Il permet de partager la douleur que la mère ressent avec le père de l’enfant, ce qui permet de soulager un peu Madame. Seriez-vous d’accord pour le tester ? » demanda le gynécologue en se tournant vers le mari.
Ce dernier répondit « Bien sûr si ça peut lui permettre de souffrir moins je suis prêt à supporter sa douleur ».
Le lendemain l’appareil est branché et mis en route. « Nous allons commencer à 10% pour vous » dit le gynécologue au mari. Celui-ci lui répond « Vous pouvez augmenter je ne sens rien. »
Le gynécologue augmenta à 20%, puis 30% puis 50%. « Je suis désolé docteur je ne sens toujours rien » dit le mari au gynécologue. Il tourna alors l’appareil à 100% ce qui fit que la mère ne sentait plus rien durant l’accouchement, mais le mari restait indifférent. Il ne ressentait pas la moindre douleur.
L’accouchement se déroula à merveille et ils purent repartir le lendemain à la maison avec leur bébé. C’est en arrivant à la maison qu’ils ont trouvé le facteur raide mort devant leur porte d’entrée.



Un couple marié alla à la messe, comme tous les dimanches. Etant donné que ces messes étaient assez longues et que la veille le mari se couchait tard, il s’endormait systématiquement à l’église.
Sa femme ne voyait pas cela d’un bon œil et décida d’apporter une longue épingle à cheveux en bois pour le piquer dans le lard s’il s’endormait à la prochaine messe.
Durant le sermon du prêtre, le mari commençait à s’endormir gentiment. Lorsque le prêtre arriva à la partie, « Et qui a créé tout ce qui vit autour de nous en six jours pour se reposer au septième ? », la femme piqua son mari avec l’épingle. Ce dernier sursauta et cria « DIEU DU CIEL !! »
Le prêtre dit « Exactement, exactement » et continua le sermon. Le mari croisa les bras et ne mit pas longtemps à se rendormir. Lorsque le prêtre arriva à la partie « Et qui est mort sur la croix pour pardonner nos péchés ? », la femme le piqua de nouveau dans le lard. Le mari sursauta de nouveau en criant « JESUS !! »
Le prêtre dit « Oui …. Oui, c’est Jésus » et continua son sermon
Le mari croisa les bras et fusilla sa femme du regard. Au bout de cinq minutes, il ferma de nouveau les yeux. Lorsque le prêtre arriva à la partie « Et que dit Eve à Adam lorsque naquit leur deuxième enfant ? », la femme tentait de piquer à nouveau son mari. Mais ce dernier lui attrapa le bras et hurla : « SI TU ENFONCES ENCORE UNE FOIS TON TRUC EN MOI, JE TE LA CASSE !! »




Un athée se promena dans les bois et admirait ce que « l’évolution de la nature » avait créé.
« Quels arbres magnifiques ! Quelles rivières abondantes ! Quels beaux animaux ! » se disait-il. Il longeait la rivière lorsqu’il entendit des branches craquer derrière lui dans les buissons. Lorsqu’il se retourna il vit avec horreur un énorme grizzly se dresser sur ses pattes arrière. L’ours fonça droit sur lui en poussant un cri à glacer le sang.
L’athée prit ses jambes à son cou et courrait de toutes ses forces. Il jeta un coup d’œil par-dessus son épaule et vit l’ours s’approcher de plus en plus. Il redoubla de force et fonça à travers buissons et feuillage aussi vite qu’il le put. Mais l’ours s’approcha de plus en plus et fit tomber l’athée qui roula sur quelques mètres avant de s’immobiliser par terre. L’ours se plaça au-dessus de lui, les deux griffes prêtes à frapper lorsque l’athée cria en désespoir : « Oh mon Dieu !! … »
Soudain le temps s’arrêta. L’ours était figé au-dessus de lui, la rivière ne coulait plus, on entendit plus de vent c’était le silence total. Une grosse voix venant du ciel tonna au-dessus de la tête de l’athée : « Tu m’as renié toute ta vie, tu as essayé toute ta vie de convaincre ton entourage que je n’existais pas et tu veux que je te sorte de cette situation j’imagine ? Puis-je compter sur ta foi dorénavant ? »
L’athée lui répondit « Ce serait hypocrite de ma part de te demander maintenant de me traiter comme un chrétien mais peut-être que tu pourrais convertir l’ours en bon chrétien croyant ? »
« Comme tu voudras » tonna la voix avant de disparaitre à jamais.
Le bruit de la rivière revint, celui du vent aussi et l’ours se remit à bouger. Il prit, tout en douceur, la tête de l’athée entre ses deux griffes et, en le regardant droit dans les yeux dit à voix haute : « Mon dieu je vous rend grâce pour ce repas. Amen »


Cette histoire se déroule dans le temps ou les grands royaumes menaient des batailles navales sur les mers avec leurs voiliers à canons imposants. Un de ses voiliers fendait les vagues sur l’océan atlantique lorsque le guetteur cria de son mat : « Navire ennemi en vue ! ». Le capitaine ordonna à son second : « Apportez-moi une chemise rouge ! » Le second un peu surpris par cette requête étrange alla chercher une chemise rouge dans la cabine du capitaine.
La bataille fit rage, rempli d’échanges de boulets de canon, de tirs de mousquet et de lames, mais le capitaine et son équipe coulèrent le bateau ennemi et furent victorieux.
Plus tard dans la journée le guetteur cria de nouveau de son mat : « Deux navires ennemi en vue ! ». Le capitaine ordonna à nouveau à son second de lui amener une chemise rouge. La bataille fit rage et fut sanglante cette fois. Le capitaine perdit la moitié de son équipage mais arriva finalement à couler les deux navires.
Dans la soirée le second demanda au capitaine : « Capitaine, pourquoi vous me demandiez une chemise rouge avant chaque bataille ? » Le capitaine lui répondit : « Eh bien si je suis blessé durant la bataille, la chemise rouge permet de masquer le sang et l’équipage aura toujours le courage de se battre si leur capitaine parait sain et sauf. »
L’équipage écoutait ce que racontait le capitaine et était impressionné et fier de lui. C’était un homme très courageux et ils eurent un énorme respect pour lui.
Le lendemain matin le guetteur cria de son mât : « Dix navires ennemi en vue ! » Le second regarda son capitaine dans l’attente de ses ordres. Le capitaine se tourna vers lui et lui ordonna : « Second, apportez-moi mon pantalon marron ! »