Une puce était assise sur un transat sur une plage de la côte d’azur. Elle avait une sale mine. Elle renifla, éternua et frissonna. Elle était enroulée dans une couverture pour avoir chaud. Un ami passa à côté et remarqua son état de santé. Il s’assit à côté de lui et lui dit : « Salut Paul ! Qu’est-ce qui ne vas pas ? Tu as une mine horrible ! »
Paul lui répondit : « Salut François, je ne me sens pas très bien. Je voulais descendre ici sur la côte pour l’hiver et le seul moyen que j’ai trouvé pour voyager c’était dans la moustache d’un mec ».
François lui dit : « Mais ce n’est pas si mal que ça une moustache … il y a pire tu sais ! »
« Oui sauf que ce mec est descendu de Paris jusqu’ici en moto ! » dit Paul
« Ah ouais je comprends que tu ais attrapé froid ! Je vais te donner un conseil pour voyager l’année prochaine. L’année prochaine tu iras à l’aéroport, tu trouves la plus jolie hôtesse de l’air, tu grimpes le long de ses jambes et tu t’installes tout en haut ou il y a un peu de fourrure. Tu verras c’est chaud, confortable et en plus, les belles hôtesses se parfument, ça sentira bon. Ça sera un voyage parfait pour toi ! »
Paul pensa que c’était une idée géniale et se sentit déjà mieux rien que de penser à l’année prochaine. « Merci François » dit Paul, « tu me sauves la vie ! »
Une année passe et François se balada à nouveau sur la promenade au bord de la plage quand il vit son ami Paul, enroulé dans une serviette, encore plus enrhumé que l’année passée.
« Paul ! tu as une mine encore plus effroyable que l’année passée ! » dit François
Paul était juste assis là et reniflait. « Tu es allé à l’aéroport comme je te l’ai conseillé ? » dit François. Paul acquiesça avec la tête. « As-tu trouvé la plus belle hôtesse de l’air ? » « O-o-o-Oui » bégaya Paul
« Alors que s’est-il passé ? » demanda François
Paul lui raconte : « Eh bien, je suis allé à l’aéroport, j’ai trouvé l’hôtesse de l’air. Elle était si belle ! » Paul éternua, puis poursuivit : « J’ai grimpé le long de ses jambes douces, sous sa jupe jusqu’à son minou. C’était si chaud et confortable, si délicieux que cela m’a bercé et je me suis endormi. » Paul sortit un mouchoir et se moucha très fort. Puis il conclut : « Et puis après je me suis réveillé sur la moustache d’un mec ! »
Paul lui répondit : « Salut François, je ne me sens pas très bien. Je voulais descendre ici sur la côte pour l’hiver et le seul moyen que j’ai trouvé pour voyager c’était dans la moustache d’un mec ».
François lui dit : « Mais ce n’est pas si mal que ça une moustache … il y a pire tu sais ! »
« Oui sauf que ce mec est descendu de Paris jusqu’ici en moto ! » dit Paul
« Ah ouais je comprends que tu ais attrapé froid ! Je vais te donner un conseil pour voyager l’année prochaine. L’année prochaine tu iras à l’aéroport, tu trouves la plus jolie hôtesse de l’air, tu grimpes le long de ses jambes et tu t’installes tout en haut ou il y a un peu de fourrure. Tu verras c’est chaud, confortable et en plus, les belles hôtesses se parfument, ça sentira bon. Ça sera un voyage parfait pour toi ! »
Paul pensa que c’était une idée géniale et se sentit déjà mieux rien que de penser à l’année prochaine. « Merci François » dit Paul, « tu me sauves la vie ! »
Une année passe et François se balada à nouveau sur la promenade au bord de la plage quand il vit son ami Paul, enroulé dans une serviette, encore plus enrhumé que l’année passée.
« Paul ! tu as une mine encore plus effroyable que l’année passée ! » dit François
Paul était juste assis là et reniflait. « Tu es allé à l’aéroport comme je te l’ai conseillé ? » dit François. Paul acquiesça avec la tête. « As-tu trouvé la plus belle hôtesse de l’air ? » « O-o-o-Oui » bégaya Paul
« Alors que s’est-il passé ? » demanda François
Paul lui raconte : « Eh bien, je suis allé à l’aéroport, j’ai trouvé l’hôtesse de l’air. Elle était si belle ! » Paul éternua, puis poursuivit : « J’ai grimpé le long de ses jambes douces, sous sa jupe jusqu’à son minou. C’était si chaud et confortable, si délicieux que cela m’a bercé et je me suis endormi. » Paul sortit un mouchoir et se moucha très fort. Puis il conclut : « Et puis après je me suis réveillé sur la moustache d’un mec ! »