Une puce était assise sur un transat sur une plage de la côte d’azur. Elle avait une sale mine. Elle renifla, éternua et frissonna. Elle était enroulée dans une couverture pour avoir chaud. Un ami passa à côté et remarqua son état de santé. Il s’assit à côté de lui et lui dit : « Salut Paul ! Qu’est-ce qui ne vas pas ? Tu as une mine horrible ! »
Paul lui répondit : « Salut François, je ne me sens pas très bien. Je voulais descendre ici sur la côte pour l’hiver et le seul moyen que j’ai trouvé pour voyager c’était dans la moustache d’un mec ».
François lui dit : « Mais ce n’est pas si mal que ça une moustache … il y a pire tu sais ! »
« Oui sauf que ce mec est descendu de Paris jusqu’ici en moto ! » dit Paul
« Ah ouais je comprends que tu ais attrapé froid ! Je vais te donner un conseil pour voyager l’année prochaine. L’année prochaine tu iras à l’aéroport, tu trouves la plus jolie hôtesse de l’air, tu grimpes le long de ses jambes et tu t’installes tout en haut ou il y a un peu de fourrure. Tu verras c’est chaud, confortable et en plus, les belles hôtesses se parfument, ça sentira bon. Ça sera un voyage parfait pour toi ! »
Paul pensa que c’était une idée géniale et se sentit déjà mieux rien que de penser à l’année prochaine. « Merci François » dit Paul, « tu me sauves la vie ! »
Une année passe et François se balada à nouveau sur la promenade au bord de la plage quand il vit son ami Paul, enroulé dans une serviette, encore plus enrhumé que l’année passée.
« Paul ! tu as une mine encore plus effroyable que l’année passée ! » dit François
Paul était juste assis là et reniflait. « Tu es allé à l’aéroport comme je te l’ai conseillé ? » dit François. Paul acquiesça avec la tête. « As-tu trouvé la plus belle hôtesse de l’air ? » « O-o-o-Oui » bégaya Paul
« Alors que s’est-il passé ? » demanda François
Paul lui raconte : « Eh bien, je suis allé à l’aéroport, j’ai trouvé l’hôtesse de l’air. Elle était si belle ! » Paul éternua, puis poursuivit : « J’ai grimpé le long de ses jambes douces, sous sa jupe jusqu’à son minou. C’était si chaud et confortable, si délicieux que cela m’a bercé et je me suis endormi. » Paul sortit un mouchoir et se moucha très fort. Puis il conclut : « Et puis après je me suis réveillé sur la moustache d’un mec ! »



Pour ce cours de philo la prof a amené un certain nombre d’objets pour faire une démonstration à ses élèves.
Elle prit un pot vide et le remplit avec des cailloux à ras bord. Elle demanda ensuite à ses élèves si le pot était plein. Ils acquiescèrent.
Du coup elle prit du gravier et le mit dans le pot. Le gravier se plaça dans les interstices des cailloux jusqu’à ras bord du pot. Elle leur demanda de nouveau si le pot était plein, et ils affirmaient à nouveau qu’il l’était.
Elle prit ensuite du sable quelle saupoudra au-dessus du pot et qui remplit définitivement l’espace qui restait entre les cailloux et le gravier.
« Maintenant » dit la prof « Je veux que vous vous imaginiez que ce pot c’est votre vie. Les cailloux sont les choses très importantes de votre vie, votre famille, votre petit amie ou petite amie, votre santé, vos enfants, des choses qui vous rendront toujours heureux même après avoir tout perdu à côté.
Le gravier représente les autres choses comme votre travail, votre maison, votre voiture.
Le sable représente tout le reste. Les choses sans importance.
Si vous mettez d’abord le sable dans le pot, vous n’aurez pas de place pour le gravier, ni les cailloux. C’est la même chose concernant votre vie, si vous dépensez tout votre temps et votre énergie dans des choses sans importance, vous ne pourrez plus vos consacrer aux choses importantes. Faites attention aux choses qui vous rendent heureux. Jouez avec vos enfants, sortez avec votre amoureuse ou votre amoureux, maintenez-vous en bonne santé. Vous aurez toujours assez de temps pour travailler, nettoyer la maison ou faire la fête.
Faites toujours attention aux cailloux, aux choses importantes. Fixez-vous des priorités. Le reste n’est que du sable de toute façon. »
Sur cette belle métaphore philosophique, un étudiant se leva, et demanda s’il pouvait compléter la théorie. La prof lui donna son accord et il sortit une bouteille de bière de son sac. Il l’ouvrit et la vida sur le pot rempli de cailloux, gravier et sable. Le sable se gorgea lentement de bière jusqu’à être plein à ras bord. Pour de bon cette fois.
La morale de cette histoire est que peu importe à quel point ta vie est comblée et remplie, il reste toujours de la place pour de la bière.



Un homme était en train de conduire sur une nationale en dépassant la limitation de vitesse. Il passa devant un gendarme en moto qui se mit à sa poursuite. Une fois arrêté par le gendarme, sur le bas-côté de la route, ce dernier se mit à sa hauteur et lui fit signe de baisser sa vitre.
« Avez-vous remarqué à quelle vitesse vous rouliez ? » lui dit le gendarme
« Oui je sais, je suis en train de fuir à cause d’un braquage » lui dit l’homme
Le gendarme lui jeta un regard sceptique et lui demanda « Vous vous êtes fait braquer ? »
L’homme lui répondit sur un ton naturel « Non, je suis celui qui a commis le braquage »
Le gendarme le regarda choqué : « Donc vous êtes en train de me dire que vous rouliez trop vite ET que vous avez commis un braquage c’est ça ? »
« Oui » lui répondit l’homme calmement « J’ai le butin dans le coffre »
Le gendarme commença à se mettre en colère. « J’ai peur que vous alliez être obligé de me suivre monsieur » Il agrippa l’homme pour le maitriser dans sa voiture. « Ne faites pas ça » cria l’homme apeuré « J’ai un flingue dans la boite à gants ». Le gendarme se recula et sortit son arme de service en la braquant sur l’homme « Ne bougez plus ! » cria-t-il. Il appela ensuite les renforts en tenant l’homme en joue.
Une demi-heure plus tard la brigade d’intervention intervint avec hélicoptère, fourgon blindé et tout l’arsenal pour arrêter l’homme. Ils lui mirent les menottes et le placèrent dans une voiture de police. Le chef de la brigade d’intervention lui dit en montrant le gendarme du doigt « Monsieur, ce gendarme nous a indiqué que vous avez commis un braquage et que vous avez une arme dans votre boite à gants. Seulement voilà, nous n’avons rien trouvé de suspect dans votre voiture. »
L’homme lui répondit : « Ouais ouais, et je vous pari qu’il vous a dit aussi que je roulais trop vite ! »



Une dame âgée va chez son médecin généraliste. Le médecin lui demanda ce qui n’allait pas.
« Eh bien, j’ai depuis quelque temps des problèmes de gaz. Heureusement ils sont très silencieux et ne dégagent pas d’odeur. En fait vous seriez sans doute surpris si je vous disais que j’ai déjà évacué 4 vents depuis que je suis entré ici. »
« Je vois » dit le médecin. Il l’examina, et lui donna une prescription pour un médicament.
Deux semaines plus tard, la dame âgée revint voir le médecin, furieuse à propos du traitement prescrit par le médecin.
« Je ne sais pas exactement ce que vous m’avez prescrit ici docteur, mais cela n’a pas résolu mes problèmes de gaz. Ils sont toujours silencieux mais maintenant ils dégagent vraiment une odeur horrible ! » affirma-t-elle
Sur cela le docteur lui répondit : « Très bien. Je suis heureux de constater que votre sinusite est guérie. Maintenant je peux vous faire une prescription pour un rendez-vous chez l’ORL »



Une dame célibataire, âgée de 70 ans, décida un jour qu’il était temps pour elle de se marier. Pour trouver son homme elle posta une annonce dans le journal local : « Cherche mari ! Doit être dans ma tranche d’âge (70 ans), qui ne lèvera pas la main sur moi, qui n’est pas tout le temps dans mes pattes, et qui est bon au lit. Tous les prétendants, merci de vous présenter en personne chez moi. »
Le deuxième jour, quelqu’un sonna à sa porte. Lorsqu’elle ouvrit la porte elle vit un homme de son âge sans bras ni jambes dans un fauteuil roulant. La dame lui dit : « Vous ne pensez tout de même pas que je vais vous épouser ? Regardez-vous … vous n’avez pas de jambes ! » Le vieux monsieur sourit et lui répondit : « Comme ça je ne pourrais pas être dans vos pattes !»
Elle grogna. « Vous n’avez pas de bras non plus ! »
Le vieux monsieur sourit à nouveau : « Je ne pourrais pas lever la main sur vous non plus »
Elle releva un sourcil et regarda en direction de son entrejambe en lui disant : « Et vous êtes toujours bon au lit ? »
Sur cela, le vieux monsieur se fendit de son plus large sourire et lui dit : « Eh, j’ai quand même sonné à la porte non ? »



Dans la Russie profonde, deux amis partent chasser comme à leur habitude. Sillonnant la forêt ils arrivèrent sur une clairière d’herbe. Ils s’arrêtèrent devant un trou d’un mètre de diamètre sans pouvoir voir le fond. « Tu penses qu’il est profond ce trou ? » demande le premier chasseur à son ami. « Je ne sais pas, on a qu’à balancer quelque chose dedans et on attend le son de l’impact. » répondit son ami. Un vieux bloc moteur trainait juste à côté de ce trou avec quelques restes d’une voiture décomposée. Ils décidèrent, en bon russe bourrin qui se respecte, d’attraper le bloc moteur et de le balancer dans le trou. Une fois le bloc moteur jeté, quelques secondes plus tard, un chèvre arriva en courant et sauta à son tour dans le trou. « Ça c’était très bizarre » disait l’un des deux chasseurs. Quelques minutes plus tard, ils croisèrent un fermier qui cherchait sa chèvre. Les deux chasseurs lui expliquaient ce qu’ils avaient vu et que la chèvre avait sauté dans un trou sans fond. « C’est bizarre » disait le fermier « je l’ai attachée exprès à un vieux bloc moteur pour pas qu’elle s’échappe »


Un homme tomba en panne de voiture dans la campagne isolée en début de soirée. La seule chose qu’il vit autour de lui était un vieux monastère. Il se rendit devant ce monastère et frappa à la porte en bois massive. Un moine entrouvrit la porte et lui demanda ce qu’il pouvait faire pour lui. « Je suis tombé en panne un peu plus haut. Etant donné qu’il commence à faire nuit je me demandais si je pouvais passer la nuit chez vous. » lui dit l’homme. Les moines l’accueillirent, rompirent le pain avec lui et lui montraient la chambre dans laquelle il alla passer la nuit.
L’homme les remercia et se coucha. Avant de pouvoir s’endormir il entendit un bruit étrange qu’il n’avait jamais entendu auparavant. Il était envoutant, rassurant, apaisant … très difficile à décrire.
De quelle source ce bruit pouvait-il venir ? A quoi ce bruit ressemble ? L’homme était tellement obsédé par ce bruit qu’il n’arrivait pas à dormir de toute la nuit. Le lendemain il demanda à un des moines s’il avait entendu ce bruit étrange la nuit dernière et ce que c’était. Le moine lui répondit : « Je ne peux pas vous le dire, car vous n’êtes pas un moine » Il demanda à d’autres moines mais ils lui répondirent tous de la même manière. « Je ne peux pas vous le dire, car vous n’êtes pas un moine » Déçu il partit du monastère lorsque la dépanneuse arriva et remorqua sa voiture.
L’homme ne put jamais oublier ce son. Il l’obsédait durant quelques années, et un beau jour il retourna au monastère. Il supplia les moines de lui dire ce que c’était. Ils lui répondirent comme quelques années auparavant. « Nous ne pouvons pas vous le dire, parce que vous n’êtes pas un moine ». L’homme leur dit « Si le seul moyen de découvrir la source de ce son est de devenir moine, alors soit, je souhaite devenir moine. Que dois-je faire ? » Le moine supérieur lui dit « Tu dois abandonner ton train de vie actuel, voyager dans le monde entier et nous dire combien de brindilles d’herbe et de grains de sables il y a sur cette terre. Lorsque tu trouveras ces réponses, alors tu deviendras moine »
Durant des années l’homme voyagea de pays en pays, étudiant cultures, livres, plantes et autre. Il revint avec des cheveux grisonnants au monastère et se présenta devant les moines. Il leur dit : « Dans ma quête pour trouver la source de ce son j’ai traversé la terre entière afin de trouver les réponses à vos questions. Et la réponse à vos questions est que seul Dieu sait combien il y a de brindilles d’herbe et de grains de sable. La seule chose qu’un homme peut réellement connaitre c’est lui-même, et ce uniquement lorsqu’il est honnête avec lui-même et qu’il est prêt de s’accepter tel qu’il est. » Le moine supérieur lui répondit : « Bravo, tu as passé ton test. Tu es l’un des nôtres à présent. Nous allons maintenant te montrer le chemin vers le son sacré que tu as entendu des années auparavant.
Le moine supérieur montra une porte en bois à l’homme et lui dit : « Le son est derrière cette porte » Il lui donna la clé pour ouvrir la porte. L’homme ouvrit la porte et se trouva dans un long couloir avec une porte en or au bout. Il traversa le couloir. Son cœur battait de plus en plus fort. Après toutes ces années il allait enfin découvrir la source de ce son. Arrivé devant la porte en or, il enfonça la clé dans la serrure, tourna et ouvrit lentement la porte. Le son devint très clair maintenant. Ce qu’il vit fut incroyable. Il tomba sur ses genoux devant cet émerveillement qu’était la source du son …. Mais je ne peux pas vous dire ce que c’est, parce que vous n’êtes pas un moine.



Un soldat de l’armée américaine vient d’être déployé en Afghanistan. Son sergent lui demande :
« Comment cava soldat ? »
« Cava Sergent, c’est juste que c’est tellement désolant ici. Certains de mes camarades sont ici déjà depuis des mois … il n’y a pas une femme à l’horizon … comment font-ils ?... Vous savez … pour les femmes ? »
Le sergent montre du doigt des palmiers au sud de la base et lui réponds : « Les gars montent des chameaux là-bas. Tu sais, personne ne va te juger soldat. »
Le soldat frissonne rien que de penser à ça et se dit que jamais il ne tombera aussi bas.
Quelques semaines plus tard, le soldat n’en peut plus. Il est tendu et ressent vraiment le besoin de se vider. Il décide finalement de rejoindre le club de ses camarades. Très tôt le lendemain matin, il va en direction des palmiers et trouve en effet des chameaux attachés aux arbres. Il commence son affaire avec le chameau par derrière lorsque le Sergent et le Major le prennent sur le fait accompli. « Bon Dieu soldat qu’est-ce que vous foutez ?! » cri le Sergent.
« Mais vous disiez … » tout en donnant des coups de hanches au chameau « Vous disiez que les autres camarades montent les chameaux pour se soulage ! »
En claquant sa main sur le front le sergent lui répond : « Espèce d’idiot ! Ils montent les chameaux pour aller en ville dans un bordel ! »



Un couple de 80 ans commence à avoir des problèmes récurrents de mémoire. Ils décident d’aller consulter leur médecin afin d’être sûr que ce n’est pas grave. Lorsqu’ils arrivent chez le docteur ils lui exposent le problème. Le docteur fait des analyses et un bilan global de santé et leur explique que tout va bien, mais que s’ils ont des problèmes de mémoire, ils devraient peut-être commencer par noter les choses afin de ne pas les oublier.
Le couple rentre à la maison, rassuré.
Dans la soirée, pendant qu’ils regardent la télé, le vieil homme se lève de son fauteuil.
« Ou vas-tu ? » demande son épouse.
« A la cuisine » répond-t-il
« Peux-tu m’apporter un bol de glace à la vanille s’il te plait ? » demande-t-elle
« Bien sûr » dit-il
« Tu ne crois pas que tu devrais le noter pour pas oublier ? » suggère-t-elle
« Non, je peux me rappeler de ça » dit-il
Alors elle ajoute : « J’aimerais bien deux ou trois fraises dessus aussi. Tu ferais bien de noter ça, parce que tu vas l’oublier »
Il lui répondit : « Cava, je peux retenir ça quand même. Tu veux un bol de glace à la vanille avec deux ou trois fraises dessus »
« Ajoute moi un peu de chantilly dessus aussi. Je sais que tu vas oublier ça, prends-toi des notes !» dit-elle
Avec un ton irrité il lui répond : « Je t’ai déjà dit que je n’ai pas besoin de prendre des notes, je m’en rappellerai ! »
Sur ces mots, il s’en alla dans la cuisine.
Environ vingt minutes plus tard il revient au salon avec un plateau à la main sur lequel se trouve un plat d’œufs fris et du bacon.
Son épouse fixe le plat durant quelques secondes et lui dit : « Tu as oublié le pain. »



Un gars entre chez un barbier et demande « Combien d’attente pour me faire couper les cheveux ? »
Le barbier regarde autour de lui pour compter le nombre de clients et lui répondit : « A peu près deux heures » Le gars repartit.
Quelques jours plus tard, le même gars revint chez le barbier et lui demanda « Combien d’attente pour me faire couper les cheveux ? »
Le barbier regarde autour de lui et lui répondit : « Aujourd’hui j’ai pas mal de monde … je dirais trois heures environ. »
Le gars repartit comme il était venu.
Une semaine plus tard le même gars revint à la boutique et demanda au barbier : « Combien d’attente pour me faire couper les cheveux ? »
Le barbier regarda autour de lui et lui répondit. « Une heure et demie environ ». Le gars repartit de nouveau.
Curieux, le barbier demanda à un ami sur place « Hé Antoine, tu ne veux pas suivre ce mec pour moi et voir ou il va ? Il n’arrête pas de me demander le temps d’attente pour que je lui coupe les cheveux, mais repart dans la foulée. »
Quelques instants plus tard, Antoine revint chez le barbier en riant.
Le barbier lui demande : « Pourquoi tu ris ? Ou est-ce qu’il est parti le gars ? »
Antoine le regarde, avec les yeux remplis de larmes tellement il avait ri, et lui répondit : « A ta maison ! »



Un négociant en vin était à la recherche d’un œnologue expérimenté. Il posta une annonce sur le journal local et le lendemain un homme se présenta devant sa porte. Il avait les cheveux gras, le teint foncé, portant un jean tâché et déchiré par endroits. Il n’avait visiblement pas pris une douche depuis la crucifixion de Jésus, et avait une odeur de tabac et de bière bon marché. Le négociant voulait chasser le clochard mais ce dernier lui dit qu’il était là pour l’annonce du journal. Sceptique, le négociant voulait quand même lui laisser une chance. Il sortit une bouteille avec l’étiquette cachée et servit un verre au clochard. Ce dernier le but cul sec et tira une grimace : « Urgh ! C’est un Cabernet Sauvignon de Bordeaux rive droite de 1992, vieilli en fût de chêne hongrois. Ça a un goût d’œuf pourri et de caoutchouc cramé. Donnez-moi autre chose ! » Le négociant est impressionné. Le clodo s’en sort mieux qu’il ne le pensait. Il a reconnu la région exacte de provenance du vin. Mais il ne voulait pas avoir un homme comme ça dans son équipe. La crédibilité de son entreprise serait remise en cause avec un déchet comme ce clochard, pensa-t-il. Il décida de lui servir quelque chose de plus complexe à discerner. « Que pensez-vous de celui-ci ? » lui dit-il en lui servant un autre verre de vin rouge. Le clochard boit une gorgée, et répondit : « Ah ch’est bien mieux dans ma direction de goût ! Un 2007 Amarone avec du Oseleta, je dirais, 15%, et au moins autant de chépage Forselina. Pente Nord-est, vieilli en f-f-fût de châtaignier françhais. Il a un corps ample, beaucoup de tanins. On perchoit des notes de figue, cho-chocolat, et de tabac. Délichieux. Je peux en avoir un autre ? » Le clochard était visiblement éméché, mais le Négociant en vin était scié par sa performance. « Tenez, voilà quelque chose d’un peu plus vieux. On change de direction, on passe au blanc cette fois. » Le négociant sortit une bouteille de blanc et servit un verre au clochard. Ce dernier but le verre d’une traite, faillit perdre l’équilibre et se rattrapa au comptoir avant de reposer le verre et de dire : « Cha ch’est absolument mé-méveilleux !! Ch’est un Tokaj de 1999, 6 puttonyos au moins, provenant de la pente est, maturé dans des fûts en chêne hongrois. Ya une chacré quantité de Kabar dans cha ! » Le négociant n’en peut plus. Le clochard était très qualifié, mais il ne pouvait pas embaucher un gars comme ça. Il décida de lui donner un test impossible à réaliser. Il part dans sa maison derrière la cave et demanda à sa fille adolescente d’uriner dans un verre à vin. Une fois fait, il revint avec le verre dans la cave et le donna au clochard qui tenait à peine debout. Il lui dit : « Voici le test ultime ! » Le clochard se siffla le verre d’une traite et répondit au négociant : « Fille, millésime 2000. Encheinte, des notes de tabac et de cocaïne. Shi vous m’embauchez, je vous donne le nom du père. »

Un mari et sa femme attendent le bus avec leur neuf enfants. Un homme aveugle les rejoints peu de temps après à l’arrêt de bus.
Lorsque le bus arriva il était assez chargé et seulement la mère et les neufs enfants ont pu monter.
Du coup le mari et l'homme aveugle décident de marcher jusqu'au centre ville. Au bout d'un certain temps le bruit de la canne de l'aveugle commence à irriter le mari. Il le tapota sur l'épaule et lui dit: "Pourquoi vous ne fixez pas un bout de caoutchouc au bout de votre canne ? Ce bruit incessant de tic tic me rend fou ?"
Sur quoi l'homme aveugle lui réponds: "Si vous auriez mis un bout de caoutchouc au bout de VOTRE canne, nous aurions pu prendre le bus, donc fermez-la et marchez !"



Un homme noir arrive aux portes du paradis.
L'homme a peur d'être victime de discrimination à l'entrée et qu'il pourrait se voir refuser l'accès au paradis
dû à la couleur de sa peau. Il décide de remplacer son nom par un nom un peu plus "blanc"
- "Nom ?" demande St. Pierre
L'homme réfléchit à un nom de blanc et en trouve un finalement.
- "Leonardo diCaprio"
Saint Pierre lance un regard sévère à l'homme et lui demande son vrai nom.
- "Leonardo diCaprio je vous dis !"
Saint Pierre plisse les yeux sans conviction.
- "Donnez moi une seconde, j'ai un coup de fil à passer là-haut" lui dit-il.
Saint Pierre se retourne, colle le combiné du téléphone sur son oreille et appelle Dieu.
Au bout de quelques sonneries une voix grave et résonnante répond et demande ce qu'il se passe.
Saint Pierre répond: "Petite question chef, est-ce que le Titanic a coulé ou brûlé ?"


La semaine dernière c'était mon anniversaire et je ne me sentais pas très bien au réveil le matin.
Je suis descendu à la cuisine pour prendre mon petit déjeuner en espérant que ma femme soit de bonne humeur, qu'elle me souhaite un joyeux anniversaire et qu'elle me surprenne avec un petit cadeau.
Mais elle m'a à peine dit "Bonjour", du coup il fallait pas trop compter sur le reste.
Je me suis dit qu'au moins mes enfants y penseront.
Ils descendaient en trombe l'escalier pour prendre leur petit déjeuner mais ils ne m'ont pas décroché un seul mot.
Du coup quand je suis parti travailler j'étais un peu triste de ces réactions.
Lorsque je suis arrivé au bureau, ma secrétaire Jane me dit avec un grand sourire : "Bonjour patron, et au passage, bon anniversaire !"
Au moins une personne qui n'a pas oublié, pensais-je
Lorsque midi sonna, Jane frappa à la porte de mon bureau et me dit : « Il fait tellement beau aujourd’hui, et puis c’est votre anniversaire, ça ne vous dirait pas qu’on sorte déjeuner que tous les deux ? » Je lui répondis « Ah merci Jane, c’est la meilleure chose que j’ai entendu aujourd’hui. Allons-y ! »
On est allé déjeuner mais pas à l’endroit habituel. Elle avait choisi un restaurant calme et romantique. On a bu deux Martini chacun et le repas était succulent. Sur la route du retour, Jane me lançait : « Il fait tellement beau, on n’a pas besoin de rentrer au bureau tout de suite, si ? » Je lui répondis : « Je suppose que non, vous avez une idée en tête ? ». Elle me dit « Venez faire un crochet à mon appartement, c’est juste au coin de la rue. »
Une fois entré dans son appartement elle se retourna et me dit : « Asseyez-vous sur le canapé, je vais juste à la chambre et je reviens tout de suite ». Je lui répondis « OK » un peu nerveux.
Elle partit dans la chambre à coucher et, après quelques minutes, ressortit avec un énorme gâteau d’anniversaire. Elle était suivie par ma femme, mes enfants, et une douzaine d’amis et collègues de travail, tous en train de chanter « Joyeux anniversaire … joyeux anniversaire… »
Et moi j’étais assis là …….
Sur le canapé …….
Nu ….



La seule vache d’un petit village perdu dans la Creuse a arrêté de produire du lait. Les villageois se sont cotisés pour acheter une nouvelle vache pour se ravitailler à nouveau en lait. Ils ont toujours entendu dire que les meilleures vaches laitières sont dans le Gers et ils décidèrent d’acheter une vache gersoise.
Cette vache produisait des quantités considérables de lait ce qui rendait les villageois plus qu’heureux. Au bout d’un certain temps ils décidèrent de faire une saillie avec leur taureau local afin d’avoir plus de vaches. Ils mirent le taureau dans l’enclos mais à chaque fois qu’il tenta de monter la vache, cette dernière s’esquivait. Quel que soit son approche la vache s’éloignait du taureau. Les villageois, très embêtés, décidèrent d’aller trouver le vétérinaire, le Dr. Picard, qui était un homme de connaissance et qui allait pouvoir les conseiller.
« Quel que soit l’approche du taureau sur la vache cette dernière ne veut pas se laisser monter ! Quand il s’approche d’un côté elle s’esquive vers l’opposé, lorsqu’il arrive par derrière elle s’en va en courant devant ! »
Le vétérinaire se frotta le menton en réfléchissant puis demanda aux villageois : « Avez-vous acheté cette vache dans le Gers par hasard ? »
Les villageois étaient étonnés par cette question car ils ne lui avaient pas dit ou ils ont eu leur vache.
« Vous vous y connaissez vraiment bien docteur » disaient-ils « comment saviez-vous qu’elle vient du Gers ? »
Le vétérinaire soupira et leur répondit avec un regard profond et vide : « Ma femme est gersoise »



Un touriste américain en visite en Espagne, s’arrêta dans un petit bistrot à côté d’une arène de corrida pour prendre son déjeuner. Pendant qu’il sirota sa Sangria fraiche, il remarqua un plat crépitant tout droit sorti du four, être servi à la table d’à côté. Soudain l’odeur de ce plat chatouilla les narines du touriste ce qui lui ouvrit l’appétit. Il appela le serveur. « Dites-moi ce plat à côté m’a l’air très apetissant. Qu’est-ce que c’est ? ». Le serveur lui répondit « Cé sont dé cojones del Torro toutes fraiches Senor. Il a été toué à la Corrida cé matin. » Le touriste se sentit un peu hésitant à la pensée de manger des testicules, mais se dit finalement : « Peu importe, il faut bien essayer ! Apportez-moi la même chose s’il vous plat » Le serveur lui dit : « Déssolé Señor, mé y a qu’oun combat par jour. Si vous révénéz tôt démain matin, vous pouvez réserver les cojones du combat dé démain »
L’américain retournait très tôt le lendemain matin pour réserver le plat. Arrivé midi, le serveur lui servit le plat qu’il avait réservé la veille. Il gouta le plat et c’était excellent. Après quelques bouchées il inspecta néanmoins le contenu de son assiette et appela le serveur. « Dites-moi, le plat est succulent, mais ces cojones me semblent bien plus petites que ceux que j’ai vu hier sur l’autre assiette. » Le serveur haussa les épaules et lui répondit : « Vous savez Señior, parfois cé lé Torro qui gagne. »



Une dame entre dans une animalerie pour acheter un perroquet.
« Nous avons un choix de trois perroquets actuellement en magasin » dit le vendeur à la dame. « Celui-ci est à 1000€ » en pointant son doigt sur un perroquet rouge. « Celui-là est à 600€ » en montrant un Ara bleu.
« Humm, c’est un peu cher » dit la dame au vendeur. « Vous n’avez rien de meilleur marché ? »
« Oh j’ai failli oublier ! » s’exclama le vendeur. « J’en ai un autre à l’arrière-boutique. Il est très beau. Le seul hic c’est qu’il a vécu dans un bordel durant ces 5 dernières années. Vous pouvez l’avoir pour 100€ »
« Marché conclu » répondit la dame au vendeur.
Arrivé à la maison elle sortit le perroquet de sa cage et l’installa sur son pied. « Putain, un nouveau bordel ! » dit le perroquet en regardant autour de lui.
La dame éclata de rire. Un peu plus tard les deux filles rentrent du lycée. « Putain, de nouvelles putes ! » dit le perroquet. Toutes les trois se mirent à rire.
Le soir, le mari rentre du bureau, impatient de voir le nouveau perroquet. Lorsque le perroquet vit le mari il s’écria : « Putain, Franck, ça fait des semaines que je ne t’ai pas vu ! »




Un homme et son épouse sont sur un court de golf. Le mari essaye d’apprendre à sa femme comment faire un swing correctement. « Je sais taper dans une balle ! » dit-elle. « Regarde ! » Elle frappa avec son club dans la balle. Elle partit à tout allure casser la vitre d’un manoir à côté du court de golf. « Merde, allons-nous excuser » dit le mari à sa femme. Ils se dirigèrent vers la porte d’entrée. Lorsque le mari frappa à la porte elle s’entrouvrit avec un grincement. « On dirait qu’il n’y a personne. » Dit-il « Allons récupérer la balle au moins ». « D’accord » lui répondit sa femme. Ils vérifiaient toutes les pièces pour finalement trouver la vitre cassée au salon avec la balle sur le tapis et une vieille lampe qui a dû être renversée par la balle. Soudain un Génie apparait devant eux. Le mari et la femme sont surpris de voir quelqu’un apparaitre ainsi devant eux mais le génie les rassura. « N’ayez pas peur de moi. Je vous suis infiniment reconnaissant de m’avoir libéré de cette lampe. Cela fait des siècles que je suis emprisonné là-dedans. Pour vous montrer ma gratitude je peux vous exaucer un vœu chacun mais à une condition. » « Laquelle ?» demanda le mari. « J’aimerai garder le troisième vœu pour moi après vous avoir exaucé à chacun le vôtre » répondit le génie. « D’accord » dit la femme « Je veux 10 Millions de Dollars » Le génie claqua des doigts et lui dit « C’est bon vous avez 10 Millions de dollars sur votre compte ». Le mari lui dit alors « Je veux une Ferrari et une Lamborghini » Le génie claqua à nouveau des doigts et lui dit : « Vos véhicules sont dans la cour dehors. Maintenant à mon tour » dit le génie. « Je veux faire l’amour à votre femme » dit le génie au mari. « Même pas en rêve » dit le mari au génie, mais son épouse lui dit : « Non laisse mon chéri. Si je ne le fais pas il pourrait annuler nos vœux. » Elle prend le génie par la main et s’en va dans la chambre à côté. Pendant que la femme fait l’amour au génie elle lui demande « Quel âge avez-vous Génie ? » Le génie lui répond par une autre question « Et votre mari il a quel âge ? » « 40 ans » lui répondit-elle. Alors le génie lui dit : « Et votre mari croit encore aux génies à son âge ? »


Un mec avec un singe sur son épaule rentre dans un bar. Personne ne fait réellement attention à lui. Il s’appuie au comptoir et commande une bière. Le singe descend de son épaule et se dirige vers le billard à l’autre bout de la pièce. Il attrape la boule blanche, la lance en l’air, et l’avale d’une traite.
« Vous me devez une boule blanche » dit le barman au propriétaire du singe.
« T’inquiète pas » dit le gars « Je te la ramène dans quelques jours. »
Trois jours plus tard, le mec revient avec son singe et rend la boule blanche au barman. Il s’assoit ensuite au comptoir et commande une bière. Le singe descend et se dirige vers une coupelle de cacahouètes qui était sur le comptoir. Il attrape une cacahouète, se l’enfonce dans le cul, avant de la ressortir et de la manger.
« Pourquoi il a fait ça ? » demande le barman.
Le mec lui répond « Oh vous savez, il aime bien mesurer les choses à l’avance maintenant »



Un matin de noël un policier monté attend devant un feu rouge. A côté de lui, Toto attend aussi que le feu passe au vert sur son tout nouveau BMX qu’il a eu à noël. Le policier dit à Toto : « Joli vélo ! C’est le père noël qui te l’a ramené ? ».
« Yep » lui répondit Toto.
« Eh bien, la prochaine fois, dis au père noël de mettre un phare sur ton vélo ». Sur ces mots, le policier sortit son carnet et colla une prune de 10€ à Toto.
Toto prends le PV et avant de s’en aller il dit au policier « Ah au fait, c’est un joli cheval que vous montez là, c’est le père noël qui vous l’a ramené ? » Le policier lui répond avec un sourire « Exactement petit ! ».
Toto lui dit alors : « Eh bien la prochaine fois, dites au père noël de mettre la bite entre les jambes et pas SUR le cheval !! »





Raoul rentre à la maison complètement ivre, tombe dans son lit à côté de sa femme, et s’endort. Il se réveille aux portes du Paradis. Saint Pierre lui dit qu’il était mort dans son sommeil. Raoul proteste. Il adore la vie, cela ne peut pas se terminer ainsi ! Après maintes argumentations avec Saint Pierre, ce dernier lui dit : « Ok tu peux retourner à la vie mais à une condition. Tu seras réincarné en poule. »
Raoul, trop amoureux de la vie sur terre, accepte, même si ce n’était pas en tant qu’humain. Soudain il se retrouve dans un poulailler. Il sent son corps se couvrir de plumes. Il sent quelque chose dans son ventre. Il regarde les autres poules qui lui disent qu’il va mettre au monde un être vivant. Quelques instants plus tard il pond un œuf. Il se sentit tellement bien de pouvoir donner la vie. Un autre œuf suivit et un troisième peu de temps après. Raoul n’aurait jamais imaginé d’apprécier autant la réincarnation en poule. Soudain, quelqu’un lui tapote l’épaule. Il entend de loin la voix de sa femme lui criant dessus : « Raoul espèce de débile, tu es en train de chier dans les draps !! »



Deux adolescents se font attraper pour avoir fumé du cannabis. Devant le tribunal le juge leur dit : « Messieurs, vous me semblez être des personnes bien, et j’aimerais vous donner une seconde chance plutôt de vous condamner à de la prison. J’aimerais que vous sortiez ce week-end et que vous essayez de convaincre un maximum de gens de ne plus consommer des stupéfiants. Je vous reverrai ici lundi. »
Lundi arrive et le juge demande au premier ado : « Comment s’est passé ton week-end ? »
« Eh bien votre Honneur, j’ai persuadé 17 gens d’arrêter de se droguer pour toujours »
« 17 gens ?? C’est formidable. Comment tu as fait ? »
« J’ai utilisé un diagramme, votre honneur. J’ai dessiné deux cercles comme ceci : O o. Je leur ai dit que le gros cercle est leur cerveau avant de se droguer, et le petit après s’être drogué. »
« Astucieux » dit le juge
Il se tourna vers le deuxième adolescent. « Et toi tu as fait quoi ? »
« Eh bien, votre honneur, J’ai persuadé 156 personnes d’arrêter la drogue pour toujours »
« Waouh !! » dit le juge. « 156 personnes ! Comment tu t’y es pris ? »
« Eh bien, j’ai utilisé un diagramme similaire. J’ai dessiné deux cercles comme ceci : o O. J’ai montré le petit cercle en leur disant « Ça c’est votre anus avant d’aller en prison …



Un jeune homme avec un jean ample comme s’il s’était chié dessus, deux dents en or et une chaine massive du même matériau, rentre dans la CAF pour récupérer son chèque RSA comme tous les mois. Il arrive au comptoir et dit à l’employé : « Yo ! Vous voyez, je déteste venir ici. Je préférerai largement avoir un Job. Je n’aime pas prendre l’argent du système, avoir quelque chose contre rien etc. etc. »
L’employé de la CAF lui réponds : « Vous êtes synchro, j’ai les coordonnées d’un retraité très riche qui vient de perdre son chauffeur. Il recherche à le remplacer pour conduire sa limousine mais aussi pour servir de garde du corps pour sa superbe fille. Votre Job consistera à conduire ce retraité dans sa Mercedes Classe S là où il voudra aller. A cause des longues heures de travail vous serez nourris et logés sur place. Il faudra aussi vous attendre à escorter sa fille durant les week-ends. » En baissant la voix il ajoute : « C’est un peu gênant à dire mais une partie de cet emploi consiste aussi à satisfaire les envies sexuelles de sa fille. Vu qu’elle a la vingtaine elle est plutôt en demande. » et il lui envoya un clin d’œil.
Le Wesh, les yeux écarquillés, lui dit : « Vous vous foutez de moi ?! »
Et l’employé de la CAF lui réponds : « Eh bien … oui … mais c’est vous qui avez commencé »



Un cambrioleur entre par effraction par une fenêtre dans une maison vide en pleine nuit. Il inspecta le contenu du salon avec sa lampe de poche lorsqu’il entendit « Jésus sait qui tu es ! » Surpris, il éteint sa lampe de poche et regarde autour de lui. Ne remarquant rien de plus il commença à détacher la TV LED du mur lorsqu’il entendit : « Jésus peut te voir ! » Il regarda autour de lui avec sa lampe de poche et trouva un perroquet dans une cage.
« C’était donc toi tout ce temps ?! » dit le cambrioleur soulagé
« Yep » répondit le perroquet
« Alors c’est quoi ton nom ? » lui demanda le cambrioleur
« Moïse » Répondit le perroquet
« Quel prénom stupide, quel genre de personne pourrait bien nommer son perroquet Moïse ! » s’esclaffa le cambrioleur
« Le même genre de personne qui nomme son Rottweiler Jésus » répliqua le perroquet



Une femme était au lit avec son amant lorsqu’elle entendit son mari rentrer par la porte de la maison. « Vite » dit-elle « mets-toi dans ce coin de la pièce ». Elle badigeonna son amant avec de l’huile de bébé et le saupoudra ensuite avec de la poudre de talc. « Ne bouge pas jusqu’à ce que je te le dise » lui chuchota-t-elle. « Fais comme si tu étais une statue »
« C’est quoi ça, chérie ? » Demanda le mari qui entra dans la chambre. « Oh c’est juste une statue » répondit-elle avec nonchalance. « Les Martins en face en ont acheté une récemment pour leur chambre à coucher et vu que je trouvais cela joli j’en ai fait de même. »
Ils n’abordaient plus le sujet de la statue pour le reste de la soirée, pas même lorsqu’ils allaient se coucher.
A deux heures du matin environ, le mari se leva, alla à la cuisine et revint à la chambre quelques minutes plus tard avec un Sandwich et un verre de lait. « Tiens » disait-il à la statue, « Mange quelque chose. Je suis resté immobile comme un con chez les Martins pendant trois jours et personne ne m’a rien offert à manger ou à boire »



Un français, un allemand et un belge s’échouent sur une île dans le pacifique après que leur bateau ait coulé. Dans la foulée ils se font capturer par une tribu sauvage. Leur chef commença à leur parler : « Moi Kunta Kinte et moi chef de cette tribu. Nous cannibales nous manger vous. » Les trois survivants, morts de trouille, commencent à paniquer. « MAIS ! » … continua le chef, « si vous rapportez deux beaux fruits de forêt, vous gracié »
Le français, l’allemand et le belge s’en vont dans la forêt pour trouver chacun deux fruits. Après trois heures, l’Allemand revient avec une cerise et une fraise et donna ces deux fruits au chef de tribu. « Maintenant, tu enfonces dans cul. Si tu ris, toi mourir, si pas rire toi libre. » L’allemand se dit, « Ach, fazil ! » Il s’enfonce la cerise dans le fion, puis la fraise. Mais la fraise le chatouilla tellement qu’il se mit à rire. Aussitôt Kunta Kinde attrapa un gros couteau et l’enfonça en plein cœur de l’Allemand.
Le français sortit à son tour de la forêt avec une pomme et une orange. Même scénario, le chef de tribu lui dit : « Maintenant, tu enfonces dans cul. Si tu ris, toi mourir, si pas rire toi libre » Dégouté de ne pas avoir ramené un fruit plus petit, le français s’enfonce la pomme dans le cul en soufflant et gémissant. Il essaya de même avec l’orange mais explosa de rire. Le chef l’embrocha en plein cœur comme avec l’allemand.
Les deux morts se retrouvent au paradis et l’allemand demande au français : « Tu as dû enfoncer fruit dan don cul auzzi ? J’ai géré aveg cerise mais la fraiz fésé trop de guili-guili. Du coup le chef m’a tué »
Le français lui répond : « Oui j’ai fait exactement pareil. La pomme c’était dur mais j’y suis arrivé. J’allais ensuite m’attaquer à l’orange …….. quand j’ai vu le belge sortir de la forêt avec un ananas et une pastèque… »



Une femme se fait interpeller par un gendarme aux jumelles sur le bord d'une départementale. Une fois arrêtée, le gendarme lui fait signe de baisser la vitre de sa porte. Elle s’exécute et le gendarme, avec son air arrogant et sexiste de gendarme, lui demande « Vous êtes pressée ma ‘tite dame ? ». « Oui je suis en retard pour mon travail » lui répond-t-elle.
« Ah ouais ? » dit le gendarme « Et qu’est-ce que notre petite pilote de F1 fait dans la vie ? »
« Je suis une élargisseuse de rectum » lui répond la dame.
Le gendarme balbutia « Une quoi ? Elargisseuse de rectum ? et ça consiste en quoi exactement ? »
« Eh bien … » lui dit la dame « Vous savez … Je commence à insérer un doigt, puis un deuxième, puis trois, etc. jusqu’à mettre la main entière. Puis je continue jusqu’à pouvoir rentrer une deuxième main, puis tout doucement je commence à élargir jusqu’à obtenir un trou d’un mètre quatre-vingt à peu près.
« N’importe quoi ! Et même si cela était possible, à quoi bon d’avoir un trou du cul d’un mètre quatre-vingt ?? » s’écrie le gendarme.
Elle lui répond poliment : « Vous lui mettez une paire de jumelles dans les mains et le garez au bord d’une départementale. »




Quatre nonnes sont devant Saint Pierre aux portes du paradis.
Saint Pierre leur dit : « Comme vous devez sans doute le savoir, seulement les âmes lavées de leurs péchés peuvent entrer au paradis. Confessez vos péchés maintenant et lavez les dans ce bassin d’eau bénite » En pointant du doigt un bassin en marbre juste à côté.
La première nonne fit un pas en avant et confessa : « J’ai posé une fois mon regard sur les parties génitales de Père Richard, un prêtre de mon église. »
St. Pierre lui dit : « Soit, lave toi les yeux et entre au Paradis. »
La nonne s’exécuta et entra au Paradis.
La deuxième nonne s’avança à son tour et confessa : « J’ai soulagé une fois le Père Richard avec mes mains »
St Pierre : « Lave toi les mains et tu pourras entrer au Paradis. »
La nonne s’exécuta et entra au Paradis.
Soudainement la quatrième nonne passa devant la troisième, s’approcha du bassin, se rinça la bouche avec l’eau bénite en se gargarisant et recracha l’eau.
St. Pierre lui demanda : « Pourquoi tu as fait ça ? Pourquoi tu n’as pas attendu ton tour ? »
Et la nonne lui répondit : « Je ne voulais pas passer après que celle-là se soit lavé le cul dans le bassin ! »



Un soldat en sueur et hors d’haleine courait le long d’une route. Il vit une nonne et s’arrêta devant elle complètement essoufflé. Il lui demanda : « S’il vous plait ma sœur est-ce que je peux me cacher sous votre robe ? Je vous expliquerai plus tard ». La nonne acquiesça et le soldat sauta sous sa robe. Quelques instants plus tard deux hommes de la police militaire arrivaient à la hauteur de la nonne. « Ma sœur, avez-vous vu un soldat en train de fuir ? » demanda l’un d’entre eux. « Il est parti par-là » répondit la sœur en montrant du doigt une direction que les deux soldats empruntèrent.
Une fois que la police militaire était hors de vue le soldat grimpa en dehors de la robe de la nonne et lui dit : « Je ne pourrais jamais vous remercier assez ma sœur, vous voyez je ne veux pas partir à la guerre »
La nonne lui répond : « Je comprends tout à fait »
Le soldat ajouta : « Je ne veux pas paraitre déplacé mais laissez-moi vous dire que vous avez de très belles jambes ! »
La nonne répondit à cela : « Si vous aviez regardé un peu plus haut, vous auriez remarqué aussi une grosse paire de couilles …. Moi non plus je ne veux pas aller à la guerre ! »



Une femme au foyer accueille chez elle son amant pendant que son mari est au travail. Mais un jour son mari rentre plus tôt et elle cache son amant dans le placard de la chambre, sans savoir que son fils de 9 ans a vu toute la scène et qu’il était aussi caché dans le placard. Le garçon a maintenant de la compagnie.
Le Garçon : « Fait sombre ici »
L’amant : « En effet »
Le garçon : « J’ai une balle de tennis avec moi »
L’amant : « Super ! »
Le garçon : « Tu veux me l’acheter ? »
L’amant : « Non merci »
Le garçon : « Mon père est juste là dehors … »
L’amant : « OK, combien »
Le garçon : « 50€ »
L’amant : « !!! »
Quelques semaines plus tard, la même chose arriva encore une fois. Le mari rentre plus tôt que prévu et l’amant se cache dans le placard de la chambre où se trouve le fils de 9 ans.
Le garçon : « Fait sombre ici »
L’amant : « En effet »
Le garçon : « J’ai une raquette de tennis »
L’amant : « Super ! »
Le garçon : « Tu me l’achètes ? »
L’amant : « Sans façon merci »
Le garçon : « Je vais cafter … »
L’amant : « Combien ? »
Le garçon : «250€ »
L’amant : « Ok Ok ! »
Quelques jours plus tard le père dit à son fils : « Attrape ta raquette de tennis on va faire quelques passes ». Le garçon dit : « Je ne peux pas je l’ai vendue ».
Le père demande « Combien tu l’as vendue ? ». Le fils répond « 250€ » Le père dit : « Quoi ?! Mais c’est bien plus que sa valeur. Ce n’est pas bien d’arnaquer ses amis comme ça. Viens avec moi à l’église tu vas aller te confesser. »
Ils arrivent à l’église et le garçon s’assoit dans le confessionnal. Le garçon dit : « Fais sombre ici »
Le prêtre répond : « Ah non tu ne vas pas recommencer ça encore ! »



Un jeune homme s’est perdu en faisant une randonnée dans une forêt chinoise. Sur son chemin il vit une petite cabane. Il frappait à la porte et se retrouva devant un vieux chinois avec une longue barbe blanche. « Je suis perdu » lui dit-il « Pouvez-vous m’héberger pour la nuit s’il vous plait ? ». « Bien sûr » lui répondit le vieux Chinois « mais à une condition. Si tu touches ne serait-ce qu’un cheveu de ma fille, je te ferais subir le trois tortures chinoises les plus douloureuses pour l’homme ». « OK, ça me va » dit le jeune homme, en se disant que de toute façon vu l’âge du vieux sa fille ne devait pas être toute jeune non plus.
Durant le diner, la fille du vieux chinois descendit de l’étage. Elle était jeune et d’une beauté indescriptible. Elle semblait très attirée par le jeune homme car elle n’arrêtait pas de le regarder durant tout le diner ce qui apporta une certaine excitation au jeune homme. Mais il repensa à ce que le vieux chinois lui avait dit et ignorait la fille. Après le dîner il montait à l’étage dans sa chambre pour se coucher.
La beauté de cette fille occupait tellement son esprit qu’il ne trouvait pas le sommeil.
Il décida d’aller discrètement dans sa chambre. Arrivé là-bas elle l’attendait déjà et ils firent l’amour le plus silencieusement possible. Le jeune homme se recouchait après dans sa chambre ni-vu ni-connu.
Le lendemain matin il se réveilla avec un énorme caillou sur son torse et un papier dessous qui disait : « Torture chinoise N°1 : Gros caillou sur torse ». Le jeune homme, amusé, se disait « Je m’attendais à pire comme torture ! » Il ouvrit la fenêtre et jeta le caillou. C’est à ce moment-là qu’il trouvait un autre papier cloué à l’encadrement de la fenêtre disant « Torture chinoise N°2 : Caillou attaché à testicule gauche » Paniqué il regarde entre ses jambes et voit une ficelle attachée autour de sa couille gauche. Réalisant très vite qu’une côte out deux de cassé valaient mieux qu’une castration, il décida de sauter par la fenêtre. Lors de sa chute qui paraissait interminable, il vit devant lui un gros panneau en bois sur lequel était marqué « Torture Chinoise N°3 : Testicule droite attachée au pied du lit »



Une dame rentre dans une animalerie. Son regard s’arrête sur un perroquet Ara au plumage d’un bleu océan. « Magnifique » pensait-elle. Elle va voir le vendeur et lui dit : « J’aimerais acheter ce perroquet. Combien coute-t-il ? »
Le vendeur lui répond : « 2000 Euros »
La dame lui dit : « Je comprends, ce perroquet est magnifique, mais n’est-ce pas un peu exagéré comme prix ? »
Le vendeur lui dit : « Ma gentille dame, ce perroquet s’appelle Mickey, et il parle. Beaucoup ! Allez-y demandez-lui quelque chose. »
La dame demande au perroquet : Salut Mickey, qu’est-ce que tu penses de moi ? »
Le perroquet dit : « Je pense que tu es une vieille pute assoiffée de foutre ! »
La dame, vexée et choquée, dit : « Jamais de la vie j’achèterai un perroquet aussi malpoli ! »
Le vendeur intervient et dit à la dame : « Madame, donnez-moi 10 minutes et je vous assure que Mickey va bien se comporter. »
Le vendeur attrape le perroquet, va à l’arrière-boutique et remplit un sceau avec d’eau froide. Il plonge le perroquet dans le sceau en hurlant : « Jures le de te comporter correctement, jure-le !!! »
Mickey lui dit : « Je le jure, connard, je le jure »
Sur ce le vendeur replonge Mickey dans le sceau et lui dit : « Tu es sur petit jean-foutre malpoli ? »
Mickey dit : « Ok, Ok j’ai appris ma leçon, maitre. Je vous en supplie ne me faites plus de mal. Je serai poli jusqu’à la fin de mes jours. »
Le vendeur revient au comptoir avec le perroquet en disant à la dame : « Tout est bon, je l’ai guéri. Vous pouvez essayer. »
La dame demande à Mickey : « Mickey, qu’est-ce que tu diras si je rentre à la maison avec un homme ? »
Mickey répond : « Que vous êtes rentrée avec votre mari Madame. »
La dame demande à nouveau : « Et si je rentre avec deux hommes ? »
Mickey dit : « Que vous avez un diner de famille avec votre mari et votre frère Madame »
La dame lui demande ensuite : « Et si je rentre avec trois hommes ? »
Le perroquet se tourne vers le vendeur et lui dit : « Ecoute mon gars, tu ferais mieux d’aller chercher ce sceau d’eau, je te l’avais dit que c’était une vieille pute ! »




Deux statues représentant un homme et une femme nue sont placés face à face dans un parc. Ils se fixent depuis plusieurs décennies déjà. Un jour, un ange descend du ciel et donne vie à ces deux statues en claquant des doigts. L’ange leur dit : « Vous avez été si patient à rester là immobile à travers les étés et hivers si nombreux, pour vous récompenser je vous donne vie pendant 30 minutes pour que vous puissiez faire ce qui vous plait.
Il la regarde, elle le regarde, et ils partent en courant derrière un buisson. L’ange attend pendant que le buisson remue dans tous les sens.
15 minutes plus tard, les deux statues vivantes reviennent en rigolant et complètement essoufflés.
L’ange leur dit : « Hum, il vous reste encore un quart d’heure, vous voulez recommencer ? »
Il lui demande : « Ça te dis ? » Elle lui répond : « Oh oui mais cette fois on pourrait changer de position. Cette fois c’est à moi de tenir le pigeon et à toi de lui chier sur la tête. »


Une mère rend visite à son fils qui vit avec une colocataire. Durant le repas elle n’arrête pas de remarquer à quel point la fille était mignonne. Elle a des soupçons sur leur relations depuis un moment et cela la rend de plus en plus curieuse. En les regardant s’échanger des regards elle se demandait si il n’y avait pas quelque chose de plus entre eux. Devinant les pensées de sa mère, le fils lui dit : « Je sais à quoi tu penses, mais je t’assure que nous sommes juste des colocs. » Une semaine plus tard la colocataire vient vers lui en disant « Je n’arrive plus à trouver le plateau d’argent depuis que ta mère est passée, elle ne l’aurait pas pris par hasard ? » Il dit « Ecoute, cela m’étonnerait, mais je vais quand même lui demander par mail pour être sûr » Il s’assoit devant son ordinateur et lui écrit :

Chère Maman,
Je ne dis pas que tu AS pris le plateau d’argent, je ne dis pas non plus que tu n’AS PAS pris le plateau d’argent, mais le fait est que le plateau d’argent manque à l’appel depuis que tu es venue la dernière fois.
Bisous
Ton fils

Quelques jours plus tard, il reçoit une réponse de la part de sa mère :

Cher fils,
Je ne dis pas que tu AS couché avec ta coloc, je ne dis pas non plus que tu n’AS PAS couché avec ta coloc, mais le fait est que si elle dormait dans son lit, elle aurait trouvé le plateau d’argent sous son oreiller.
Bisous
Ta mère




Le vieux Henri vient comme chaque année faire un check-up chez son médecin généraliste. Après examen, le docteur lui dit : « Henri, je vois que vous êtes en bonne santé physiquement ! Dans votre esprit tout vas bien aussi ? Vous allez toujours à l’église tous les dimanches ? Et comment cava avec votre foi en Dieu ? »
« Cava très bien merci. Et je m’entends à merveille avec Dieu ! Chaque nuit quand je vais aux WC Dieu m’allume la lumière et l’éteint lorsque je reviens au lit. »
Le docteur, un peu intrigué, va voir la femme d’Henri dans l’après-midi.
« Madame, je suis venu vous dire qu’Henri est en très bonne santé d’un point de vue physique. Néanmoins, lorsque nous discutions, il me disait quelque chose d’assez étrange sur Dieu. Est-ce vrai que lorsqu’il va aux WC la nuit la lumière s’allume et s’éteint par la suite ? »
La femme d’Henri soupire : « Oh non ! Il a encore pissé dans le frigo …! »


Un professeur est assis avec un fermier dans un train. Mort d’ennui, le professeur dit au fermier : « Je vais vous poser une question. Si vous ne pouvez pas y répondre vous me donnez 5€. Ensuite ce sera à votre tour de me poser une question. Si je ne peux pas y répondre, je vous donnerai 500€. Qu’est-ce que vous en pensez ? » Le fermier hoche la tête en mastiquant son cure-dent dans le coin de sa bouche.
Le prof demande alors au fermier : « Quelle est la distance entre la Terre et la Lune ? » Le fermier sort un billet de 5€ et le donne au prof sans dire un mot.
Le fermier demande à son tour au prof : « Quel animal a trois pattes quand il monte sur la montagne et quatre pattes quand il descend de la montagne ? »
Le professeur réfléchit de toutes ses forces mais ne trouve pas la réponse. A contrecœur il sort les 500€ et les donne au fermier.
Le fermier empoche les 500€ et tire son chapeau sur le nez pour faire une sieste. « De quel animal s’agit-il ? » demande le professeur néanmoins curieux.
Le fermier sort un billet de 5€ et le donne au prof, et commence sa sieste.



L'histoire se déroule dans une école de médecine. Des étudiants en médecine donc reçoivent leur premier cours d'anatomie avec un vrai corps humain. Ils sont tous réunis autour d'une table d'opération avec le corps recouvert d'un drap blanc. Le professeur leur dit :
- En médecine, il faut avoir 2 qualités importantes : La première il ne faut pas être dégouté.
Là-dessus le prof retire le drap, enfonce un doigt dans l'anus du mort et quand il l'a retiré il suce son doigt.
- Allez faites la même chose que moi.
Les étudiants après quelques minutes d'hésitation passent chacun leur tour. Ils enfoncent le doigt dans l'anus du mort et sucent leur doigt après l'avoir retiré. Quand tout le monde a fini le prof les regarde et leur dit :
- La seconde qualité c'est l'observation. J'ai enfoncé le majeur et j’ai sucé l'index !